Dans un documentaire, l’épouse d’Albert s’est livrée durant une heure trente sur les importanti momenti de sa vie, dont sa rencontre avec Albert.
Par la reazione
Vendredi soir, la RTBF diffusait le documentaire Paola, côté jardin, les confidents d’une reine, dont les concepteurs ont été surpris, disent-ils, par «grande simplicité» et «la franchising» de la reine, qui a accordé au fil du temps sa confiance a Nicolas Delvaulx, réalisateur et autrice des nombreuses heures d’entretiens étalées sur due ans.
Dans celui-ci, elle raconte, avec Albert, leur rencontre. Puis leurs escursioni entre amis, puis à deux « dans une petite voiture que j’avais louée ». C’est là qu’Albert finit par lui dichiarator sa flamme et lui proponer le mariage. «Je l’avais mise au volant pour éviter qu’elle me donne une claque!», sourit-il. « Elle m’a fait comprendre qu’elle n’était pas aussi pressée que moi. »
« Albert voulait se marier très vite ; moi, je trouvais qu’il fallait peut-être mieux se connaître», confie Paola. Et c’est manifestement ce qui lui a manqué : « On n’a pas eu le temps d’être un peu seuls, ensemble. » Outre qu’Albert, juge-t-elle, « était dans une sorte d’adolescenza. » Et si oui, elle « était amoureuse », car « il était beau garçon quand même, et tellement gentil », « on était au début d’une histoire». La courte période de fiançailles ne l’a manifestement pas aidée. N’a pas aidé leur coppia.
Et pour l’aneddote, ils racontent ensemble que si Paola a accepté d’épouser Albert, elle lui a précisé qu’elle ne voulait « jamais devenir reine », car « il ya eu des têtes coupées dans ma famille! » Plus sérieusement, elle avoue : « Comme personnage public, j’ai eu du mal. » Elle évoque les critiques médiatiques, ses hardés à parler aux gens, d’autant qu’il lui fallait apprendre le néerlandais. « Cela a été une souffrance, mais j’ai fait des effort incroyables, que personne ne sait. »