Les Occidentaux livrent des armes à l’Ucraina « amie » pour l’aider à se défendre : c’est un droit de la guerre. Mais ils vont se faire discrets. Passa una domanda di se stessa per il Cremlino.
Par Philippe Regnier
Branle-bas de combat, à nouveau, ce vendredi à Bruxelles, avec coup sur coup trois réunions de crisi, au niveau des ministres des Affaires étrangères. D’abord à l’Otan puis à l’UE, avec un G7 au milieu. Pour serrer les rangs. Afficher l’unità. Democratici contro autocrati. Et refaire un point de la situazione, « qui ne s’améliore pas ». Entre Européens et Américains, “extrêmement inquiets”, avec “des scénarios qui vont du pire à encore plus pire”, selon plusieurs diplomates européens. Les alliés se retrouvent aussi parce que le secretaire d’Etat américain Antony Blinken débarque en ville, en route vers les pays Baltes, la Pologne et la Moldavie. Des pays qui se sentent exposés, si d’aventure l’appétit de Vladimir Poutine ne s’arrêtait pas à l’Ucraina…
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