C’est une conséquence directe de la guerre in Ucraina.
Par la reazione
D‘ici quelques semaines, les conséquences de la guerre en Ukraine, couplées à cell préexistants la crisi sanitaria, se feront netment ressentir par les consommateurs dans les supermarchés. Hausse de prix et pénuries de certes produits alimentaires sont à nos portes, annonce Silvie Vanhout, responsable de la Gondola Academy, qui form depuis 10 ans des spécialistes de la vente et du marketing actifs dans la distribution et dans de laom consmation de production bi haute rotazione (FMCG).
Les prodotti più chers
C’est inévitable, selon Silvie Vanhout rejoignant d’autres osservatori: il ticket de caisse va gonfler à panier inchangé. « Nous allons atteindre une hausse des prix 5 à 10% pour l’ensemble de l’année. Pour les produits touchés par les plus forti hausses tarifaires et par les pénuries de matières primeères, come le blé et le tournesol, cela grimpera +15, voire +20%. Le haut de la fourchette sera Certainement atteint si nous connaissons un nouvel été catastrophique pour l’agriculture. »
« Ces hausses arriveront catégorie par catégories. Les céréales, puis les biscuits, puis les bières… Et on se rendra compte à un moment donné que le ticket de caisse sera beaucoup plus élevé. C’est déjà le cas pour certees familles de produits comme le thé et le café (+3,5%) ». Consolazione: les produits frais locaux, comme les fruits et les légumes, y compris ceux chauffés en serre, pourraient être épargnés, jusqu’à un certo punto, par cette inflation galopante.
I prodotti in pensione
A côté de ces variazioni tarifaires, pour lesquelles notre système de distribution n’est pas conçu, s’ajoutent des problèmes d’approvisionnement qui compromettente la produzione di certi alimenti trasformati. Cela concerne tout ce qui est fabriqué à base d’huile de tournesol, comme les chips, les frites, des sauces, des pâtes à tartiner, des biscuits. Sont aussi visés des aliments contenant de la gélatine come les bonbons et les confitures.