Spedizione 5300. C’est le nom de l’étude qui est menée en ce moment a 5.300 m d’altitude au Pérou, sur le mal chronique des montagnes dans la plus haute ville du monde. L’agita di travailler sur les hardés d’adaptation de l’être humain à la haute altitudine. Aurélien Pichon est enseignant-chercheur alla facoltà delle scienze dello sport all’università di Poitiersspécialiste du manque d’oxygène, il participe à cette spedizione scientifica e umana dans cette ville de la Rinconada.
Des oftalmos qui construisent des lunettes à leur vue
On va étudier les effettis de la très haute elevazione de façon chronique c’est à dire à long terme sur des Patients, on leur fait des prises de sang, des mesures de quantité de globules rouges, de masses d’hémoglobine, sanguin total, des mesures de viscosité sanguine on a aussi des ophtalmos qui construisent des lunettes à leur vue comme ça en direct”, explique le chercheur poitevin, qui lui même doit adapter son quotidien et son travail à la très haute height.
Scientifiques spécialistes de la physiologie humaine, médecins, infirmiers, étudiants de médecine français et péruviens travaillent de concert pour venire en aide à cette notamment de mineurs chercheurs d’or.
Aurélien Pichon preciso:Chez chacun d’entre nous, on an autour de 40% de globules rouges pour 60% de plasma, ici on a des péruviens qui ont jusqu’à 80% de globules rouges pour seulement 20% de plasma, avec des sangs très visqueux , qui pose des problèmes pour la circolazione du sang, l’oxygénation des tissus et on vient donc étudier tous ces paramètres-là. ”