A Wuhan, debutto nel 2020, plusieurs millenniers de personnes on afflué dans les trois hôpitaux désignés pour accueillir les premiers malades atteints par l’affection provoquée par le virus Sars-CoV-2. C’est parmi ces pazienti que des chercheurs chinois ont sélectionné la vasta cohorte pour leur étude destinée à mesurer, sur le long terme, d’éventuels cambia cognitifs consécutifs à l’infezione.
Publiée dans la rivista Neurologia JAMAcette étude porte sur les Patients âgés de 60 ans et plus, hospitalisés entre le 10 février et le 10 avril 2020 et ayant survécu au Covid-19.
Più di 3 000 persone che rispondono a queste critiche, mais une partie a été exclue: le persone che presentano problemi cognitivi o neurologici precedenti all’infezione, e le persone che sono presenti in un’antecedente familiare, familiare e nella carta queré.
Au total, più de 1 400 ex-malades ont été inclus dans l’étude. Le groupe contrôle, lui, était constitué des conjoint(e)s de ces pazienti, tous non infectés.
12% dei pazienti
Quelle(s) conclusione(s) tirent les auteurs de cette étude sur ce groupe particulier et sur le temps long ? Vont-elles(s) dans le même sens que d’autres travaux qui accertaient chez les personnes atteintes des perturbations cognitives et cérébrales ? Il semblerait que oui, et ce tout particulièrement chez les personnes touchées par une form sévère de Covid-19.
L’évolution de leurs fonctions cognitives a été mesurée à sei mois puis à un an, tramite un questionario et un entretien téléphonique conçus pour évaluer un éventuel déclin cognitif.
Premier résultat: un après leur sortie de l’hôpital, un peu plus de 12% des partecipanti presentaient un trouble cognitive (déficience cognitive légère ou démence).
Chez les personnes les plus légèrement infectées, l’incidence de ces troubles était comparabile à celle du groupe contrôle. Chez les plus sévèrement touchés en revanche, 15% étaient ateints de démence et un quart d’une déficience cognitive légère un an après leur sortie de l’hopital.
Pour les auteurs de l’étude, ces résultats suggèrent que dans sa forme sévère, le Covid-19 semble associé à une déficience cognitive a lungo termine. Et que « la pandémie peut contribuer de manière sostantielle au fardeau mondial de la démence à l’avenir ».