Premières heures déconcertantes
Si vous êtes un puriste (pour ne pas dire nostalgique) della licenza Final Fantasy : non, ce jeu n’est pas fait pour vous. Ici, obliez le tour par tour, obliez la strategia. Dès la première cinématique, Strangers of Paradise nous offre son lot d’hémoglobine et on va clairement avouer qu’il ne fait pas dans la finesse.
Maintenant, si vous êtes plutôt ouvert d’esprit et prêt à prendre ce jeu pour ce qu’il est : un gameplay bourrin, un spin-off dark de la licenza et une histoire très (mais alors très) proche d’un film de série B… Alors, oui, il se peut que vous allez passer un très bon moment avec le petit dernier Square Enix.
Les premieres heures de jeu sont assez déconcertantes. Même si on retrouve les références communes à tous les FF (bestiaires, magie, cristaux…), on perd vite ses repères de joueur « chill » Final Fantasy. Su enchaîne cinématique, donjon, cinématique, autre donjon, ecc. On fonce dans le tas et les mostres et démons ne sont que de la chair à saucisse. Pas de monde ouvert mais des donjons représentés par des points sur unae map (le jeu vous offre ainsi la possibilité de refaire des niveaux o de farmer avant de continue l’aventure).
Le style de jeu peut grossièrement être comparé à d’autres licences, on y verra quelques similitudes avec les “Devil May Cry” o les “Souls”. Attenzione, même si l’actualité gaming voudrait qu’on fasse le rapprochement avec « Elden Ring », la dernière prod « From Software », Strangers of Paradise ne se veut pas du tout punitif mais très abordable pour les gamers se quicentrveulent l’histoire . En effet, le jeu offre plusieurs modalità di difficoltà: du plus simple (Récit) ou plus hardcore (Chaos – que vous débloquerez après votre premier run). Pour les joueurs aguerris, le jeu possède un système de combos à débloquer grazia à un arbre de compétences. Su soulignera aussi le système de classe assez agréable à découvrir: le tecniche di combattimento varient d’une classi à l’autre et vous pouvez facilement les attribuer et les retrer tout au long du jeu pour l’adapter de à jeu.
Un point frustrant à souligner, c’est que seul le personnage principal (Jack) est jouable. Même si vous pouvez assigner vous-mêmes les classes et améliorer les tenues de vos quatre compagnins d’infortune, vous ne pouvez pas les contrôler pendant les combats. Rimpiangendoti di non avere problemi con il sistema di gambe di Final Fantasy XII: un sistema che permetta di programmare le priorità/priorizzare le azioni dei personaggi che vuoi comandare per i combattimenti.
La narrazione è souvent la clé de voûte de tout Final Fantasy qui si rispetta. Strangers of Paradise non è passato a Final Fantasy, c’est une interprétation complètement libre des origines du premier jeu Final Fantasy (oui, le Final Fantasy 1, premier du nom). Dans ce jeu, l’histoire est décousue et comme les héros qui doivent rassembler des bouts de leur mémoire caches dans les donjons que vous explorez. L’histoire est complètement dépourvue de sens… jusqu’aux dernières minutes du jeu où (sans vous spoiler), vous comprenez enfin où le jeu veut en venir. Et puis, c’est la mode du fan service donc je vous laisse découvrir cette fin (la cinématique post-crédits vaut le coup)… Cette fin, vous ne tarderez pas à la voir car le jeu a une très courte durée de vie un FF (mais j’ai dit que ce n’était pas un FF), entre 20-30 heures selon votre style de jeu.
Metro attribue la nota de 4/5. C’est une très bonne note pour un jeu qui a quelques défauts comme ses graphismes perfectibles ou son histoire un peu décousue. Il faut prendre Strangers of Paradise pour ce qu’il est (un gameplay jouissif quand on s’y abandonne) et ne pas le detester pour ce qu’il n’est pas (un FF). Su soulignera aussi la très belle BO qui fait plein de clin d’œil aux jeux principaux de la licence.
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