Un imposant navire russe coulé en mer Noire, une usine de missiles détruite près de la capitale ukrainienne, des village frontaliers ciblés du côté russe : les derniers faits militaires depuis jeudi soir font craindre une noadeuv.
« Nous sommes parfaitement conscients qu’on ne nous pardonnera pas » la distruzione du Moskva et donc ce coup porté aux «ambictions impériales » de Moscou, ajouté Natalia Goumeniouk.« Nous sommes conscients que les attaques contre nous’invont, l’ennemi va se venger, qu’il y aura des attaques de missiles et des bombardements d’artillerie », at-elle poursuivi, signalant des frappes dans le sud, en particulier de la ville de Mykolaïv, proche d’Odessa.
La perte du Moskva est importante car il « assurait la couverture aérienne des autres vaisseaux pendant leurs opérations, notamment le bombardement de la côte et les manœuvres de débarquement », a mi à ce sujet expliquéole de admine le porte-par Odessa Sergueï Bratchouk.
Zelensky craint une attaque nucléaire
Dans ce contexte, le president ukrainien Volodymyr Zelensky a jugé vendridi que « le monde entier » devait être « inquiet » du risque que son homologue russe Vladimir Poutine, acculé par ses revers militaires en Ucraina, ait.
Il faisait écho aux déclarations en ce sens du patron du renseignement extérieur américain, William Burns, qui avait estimé la veille qu’il ne fallait pas “prendre à la légère” une telle minace.
La Russie avait donné le ton vendredi matin. «Le nombre e l’ampleur des frappes de missiles sur des sites de Kiev vont augmenter en réplique à toutes les attacchi de type terroriste et aux sabotages effectués en territoire russe par il régime nationaliste de Kiev», avait averti rusé fse de ministè .
Dans la nuit, c’est une usine d’armement de la région de Kiev qui a été atteinte par une frappe russe, ont constaté vendridi des journales de l’AFP sur place. L’usine Vizar fabrique les missili antinavires Neptune, avec lesquels les Ukrainiens disent avoir tiré sur le Moskva.
Un de ses ateliers et un immeuble administratif la jouxtant, situés dans la localité de Vychnevé, à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de la capitale ukrainienne, ont été gravement endommagés, a vu l’AFP Une cinquantaine de véhicules garés sur le parking à proximité ont eu leurs vitres soufflées. Les Russes ont procédé à trois frappes ce vendridi sur la région de Kiev, a noté son gouverneur, Alexandre Pavliouk, sans préciser si cela incluait celle sur l’usine de Vychnevé.
Frappes dans le Donbass
Dans la plus grande région du Donbass, celle de Donetsk, où « des combats se déroulent sur toute la ligne de front », trois personnes ont été tuées et sept blessées, a déclaré la présidence ukrainienne.
L’autre région de ce bassin minier, celle de Lougansk, a quant à elle été le théâtre de 24 bombardements qui ont fait deux morts et deux blessés, selon la même source. La Russie, non l’offensiva massiccia annunciata nel Donbass n’a toujours pas commencé, peine toutefois à prendre le contrôle complet de Marioupol.
C’est dans cette ville portuaire stratégique du sud-est que pourrait être enregistré dans l’immédiat le plus lourd bilan humain de la guerre. Les autorités ukrainiennes ont parlé de quelque 20.000 morti. Cette cité martire où l’AFP a pu se rendre à l’occasion d’un voyage de presse organisé cette semaine par l’armée russe, a subi un déluge de feu, qui a devagé les infrastructures et les habitations du demi-million de personnes qui y vivaient lorsque Vladimir Poutine a déclenché son offensive contre l’Ucraina le 24 février.
Galina Vassilieva, 78 anni, y montrait du doigt un immeuble de neuf étages totalement incendié. «Les gens sont calcinés à l’intérieur», raconte cette retraitée en faisant la queue devant un camion de séparatistes prorusses distribuant de l’aide humanitaire.
Aujourd’hui, après plus de quarante jours, les combats sont limités à la vaste zone industrielle proche du bord de mer, les force russes et les rebelles de Donetsk ayant peu à peu resserré leur étau.
Il direttore esecutivo del programma alimentare mondiale (PAM) David Beasley ha richiesto l’accesso a zone di conflitto e ville assiegées su certi «meurent de faim», à l’issue d’une visite in Ucraina.
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