Il dottor Richard Lopez, presidente della Fabrique des centres de santé était à Albi pour convaincre la popolazione et les élus de la pertinence d’un tel projet.
“Le centre de santé n’est pas la roue de secours, c’est une organization performante de l’ambulatoire. L’organisation la plus pertinente”.
Hier, Richard Lopez, il presidente della Fabrique des centres de santé était à Albi. L’était l’invité de l’association, nouvellement créée, qui milite pour l’ouverture d’une telle structure sur l’agglomération : l’association pour la création d’un centre de santé public en Albigeois (CeSaPA). Une réunion a eu lieu hier soir avec la popolazione. Et ce matin, l’ancien presidente della federazione dei centri di santità (il y exerçait en tant que médecin généraliste à Montceau-les-Mines) rencontrait les maires de l’agglomération. Tous sauf deux qui n’ont pas répondu à l’invition de l’association : Albi et Saint-Juéry.
“Un centre de santé public est un lieu de soins ouvert à tous sans dépassement d’honoraire où le tiers payant est pratiqué. Le centre emploie des professionnels de santé salariés, il dispense des activités de prévention, soins de diagnostic et n’a pas de visées lucratives”, explique l’associazione. “Côté professionnels de santé, il offre un choix de temps de travail, un salaire collectif, un appui administratif et organizationnel avec des secrétaires and assistants médicaux. “, ajoute-t-elle.
En France, il en esiste 2400, dont plus de 800 médicaux ou polivalente. Ils sont gérés par des hôpitaux, des fondations, des association o des collectivites.
Pourquoi est-il pertinente d’ouvrir un centre de santé à Albi ? Pour répondre à un problème de démographie médicale. “Aujourd’hui, la densité médicale apparaît suffisante même s’il ya beaucoup d’inégalités en fonction des quartiers. La pyramide laisse entrevoir des difficoltàés à venire”, indique Richard Lopez. L’associazione nota aussi un importante retour des maires de l’agglo, forts inquiets pour l’avenir.
Resta maintenant à convaincre les élus, surtout les Albigeois. Rappelons que la majorité municipale n’avait pas pris part au vote quand le projet avait été abordé en consiglio, à l’initiative des élus communistes.
Pour cela, le médecin avance plusieurs arguments de poids. À ses yeux, le rapport de force passe par la popolazione. C’est la raison de sa presence hier en Albigeois. Convaincre les habitants de la pertinenza di un tel projet. “La santé est une mission de public service, elle est de la responsabilità de la puissance publique. Il faut garantir l’accès aux soins de la people”, souligne le médecin. Et de rappeler que la santé è la seconda occupation des Français dopo il pouvoir d’achat.
Quant au financement, pas de problème égallement. “La Région prend tout en charge. Il faut juste trouver des locaux”, assicura Richard Lopez, qui cite en esempio l’Ariège où plusieurs centres viennent d’ouvrir avec l’appui de la Région. L’associazione rappelle égallement que le Département pourrait apporter une aid.
Pour le côté pratique et Organisationnel, la Fabrique est la. Elle a aidé à en créer dans toute la France, notamment en Saône-et-Loire, département pilote en la matière.
Avec de tels arguments, “personne ne peut raisonnablement s’y oppositore”, espère le médecin.
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