Pratiquement qualifié dopo la dimostrazione in Portogallo, Manchester City un trotto et fait tourner faccia lo Sporting (0-0). Le scelte (très) sérieuses cominciano in quarti di finale pour la bande à Pep Guardiola.
Manchester City 0-0 Sporting CP
Il fallait un miracolo, pour ne pas dire un tremblement de terre footballistique, pour voir le Sporting renverser Manchester City après s’être fait repeindre la facciata au match aller, à Alvalade (0-5). Senza sorpresa, il dénouement de la double manche n’a rien eu d’épique. Non, il Manchester City ha offerto un intrattenimento con un’alta intensità e con gli spettatori, dans une ambiance de kermesse. Le Sporting, lui, s’est évertué à garder sa cage inviolée, avec succès. Et à l’image de la caresse de Paulinho sur le cou d’Aymeric Laporte au quart d’heure de jeu, les Lions étaient plus originaires du zoo que de la savane sur 180 minuti.
Calciobalilla
Si Manchester City, d’une logique implacable, investit le camp du Sporting, c’est surtout pour y balader le cuir sous les yeux de Portugais attentistes. Les accélérations et coups de magie tranchants n’esistente pas jusqu’à cet enchaînement de Gabriel Jesus, suivi d’un centre que ne peut couper Bernardo Silva (23e). Phil Foden, qui n’aura le droit qu’à une mi-temps pour se dégourdir les jambes, se heurte lui aux poings d’un Antonio Adán plus inspiré qu’il ya trois semaines (24)e). Mais le vrai fait d’armes du portier des Leões intervient en fin de première période, lorsque celui-ci anticipe et attrape en plein vol le piqué de Raheem Sterling (38)e). Insuffisant pour que le SCP nourrisse des rimpianto, tant les fasi di transizione offensive demeurent des ébauches vides de sens.
Carson, non anarchia
Une percée de Mahrez, cafouillée et sortie d’un jeu vidéo, débouche sur la seule erreur d’Adán, coupable d’un positionnement lâche devant Gabriel Jesus. Mais la réussite pied gauche du footballeur paulista est annulée à cause d’une épaule hors jeu (47e). Ciondolo che les Chitarristi sportivi masse en parcage réalisent une grecque (bras dessus, bras dessous, dos au terrain), les ouailles de Rúben Amorim ont une poussée de fièvre. Laporte enlève un ballon chaud devant le caillou de Slimani (70e), Matheus Reis allume une mèche enlevée (73 .).e) et Paulinho obtient même un face-à-face (qu’il perd) devant Scott Carson (76)e), l’habituel troisième gardien des Cittadini, qui disputait là son premier match de Ligue des champions du haut de ses 36 ans, après avoir remplacé Ederson. Les due ultime opportunità di pietre e sterline ne seront pas plus couronnées de succès côté Azzurrimais tous les membres de la famille Gallagher se le demande : et si c’était l’année de Manchester City ?
Manchester City (4-3-3): Ederson (Carson, 73e) – Egan-Riley, Stones, Laporte (Mbete, 84e), Zinchenko – B. Silva (Mahrez, 46e), Fernandinho, Gündoğan-Foden (McAtee, 46e), G. Gesù, Sterling. Entraneur: Pep Guardiola.
Sporting CP (3-4-3): Adán – Inácio, Coates, L. Neto (Feddal, 89e) – Porro (Esgaio, 78e), Ugarte, Tabata, Reis – Sarabia (Edwards, 58e), Paulinho (N. Santos, 78 .)e), Slimani (Ribeiro, 89.)e). Entraneur: Ruben Amorim.
Par Alexandre Lazar
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