Comme symptômes, su connaissait la tousla gorge irritée, la perte de goût, qu’on appelle aussi anosmie…

Versare certi appaltatore il Covid-19 est égallement sinonimo di problemi cognitivi.

Problemi di concentrazione, problemi di memoria, problemi di espressione…

Une studio, intitulée Déficits cognitifs et de mémoire dans le long COVID parue le 17 mars 2022 et réalisée en collaboration par plusieurs chercheurs des départements de psychologie de l’université d’Exeter et Cambridge, ainsique par des scientifiques de la fondation National Health Service (NHS) vient Confirmer ces propos.

Les auteurs et autrices y expliquent que « même si le Covid-19 est considéré comme une maladie respiratoire, on sait que l’infection provoque des impacts autre part dans le corps. Et de nombreux pazienti se plaignent de symptômes neurologiques. »

Ces symptômes seraient très presenti chez ceux qui ont éprouvé de fortes fièvres ou des étourdissements ciondolo qu’ils étaient ateints du Covid-19.

« Le Covid aime la neurologia »

L’étude, réalisée sur 181 personnes qui ont eu le Covid et 185 qui ne l’ont pas eu, consistente in une série de test cognitifs. Elle rapporte que « le dysfonctionnement cognitif est l’un des symptômes les plus couramment rapportés chez les Covid longs avec environ 70 % despatients qui déclaraient en souffrir ».

Contattare par unctu.frCatherine Thomas-Anterion, neurologo et membre de l’osservatorio B2V dei ricordi, traite « 3 o 4 pazienti liés au Covid par jour », dans son cabinet Lyonnais. «Le Covid aime la neurologie», remarque-t-elle au téléphone.

Selon elle, ces problèmes cognitifs se caractérisent par ce qu’on appelle un brouillard cerebrale.

C’est comme quand on a fait une nuit blanche, en fait. On a du mal à suivre une conversation, on perd le fil de notre pensée, on est vite déconcentré… Cela rajoute de la fatica à la fatica due au Covid. C’est un cercle vicieux.

Jusqu’à « 7 punti di QI en moins »

Et en effet, dans une précédente étude des mimes auteurs, on apprenait que parmi les personnes interrogées touchées au prealable par le Covid-19, 77,8 % indiquaient connaître des hardés de concentrazione, et 67,5 % indiquaient connaître des hardés de concentrazione , et 67,5 %

Presque 60 % reconnaissaient avoir « souvent le mot sur le bout de la langue », et 43,7 % expérimentaient carrément des diffluences sémantiques. En d’autres termes, ils ne disaient pas, ou n’écrivaient pas les mots qu’ils voulaient.

De nombreuses études comme celle di Frederic Alemanno e son città. Cette dernière démontre que sur un échantillon de 87 Patients ateints de Covid-19, « 80% ont connu des troubles neuropsychologiques.

A peut aussi évoquer ce recherches de juillet 2022, parues dans le prestigios magazine La lancetta pour lesquelles 81 337 personnes ont effectué des test cognitifs.

I partecipanti qui avaient reçu un test positif au Covid-19 avaient un score global inférieur et ce déficit évoluait avec la gravité de la maladie respiratoire initiale. il Y avait […] un effet clair pour les cas bénins, biologiquement confirmés qui ne signalaient aucune complexé respiratoire.

Adam Hampshire, l’auteur de l’étude, évoque une perte globale di 7 punti di quoziente intellettuale.

Si elles ne parlent pas ou très peu du quotient intellectuel, les autres études citées parlent, elles aussi, d’une corrélation entre le degré de maladie et les troubles cognitifs associés.

Nombreux témoignages

Dans de précédents articoli, plusieurs témoignages de personnes atteintes de Covid long venaient confirmer ces dires.

Ad aprile 2021, Nathalie évoquait, pour La stampa della Manica, par esempio dei «problemi di concentrazione» liés, selon elle, à un Covid long.

En juillet 2021, une mère de famille expliquait à Actu Tolosa qu’elle souffrait, « à cause de [son] Covid long, de brouillards mentaux, de problèmes de mémoire et de concentrazione.

Versare l’Eco d’AncenisSandrine a témoigné de «nombreux problèmes de réflexion et de concentrazione».

Interrogato par actu.fr à ce sujet, François Bricaire, ancien chef du service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, explique que c’est « inquiétant », et que « même si c’est rare, cela arrive que des mala attaquent d’autres party du corps que celles qu’elles visent d’ordinaire».

« C’est trop tôt »

Si c’est en effet inquiétant, Jean-Paul Stahl, infectiologue au CHU de Grenoble, se veut plus tempéré.

Selon lui, nous ne disposons pas d’assez de données, ni de suffisamment de recul.

Par ailleurs, les données – justement – ​​​​récoltées par les chercheurs d’Exeter et de Cambridge l’ont été en ligne. «Cela significa che non ci sono azioni in misura che garantiscano l’alta qualità e la sicurezza dei partecipanti se trouvaient dans un environnement approprié o se concentraient correctement sur la tâche. »

Peut-on le soigner?

Pourtant, la docteure Thomas-Anterion est sûre d’elle : « le Covid, comme d’autres maladies, peut bel et bien affettier notre cerveau ».

D’après elle, le virus peut, dans Certains cas, modifier le système nerveux sympathique, qui permet au corps, en temps normal, de s’adapter à toutes les situazioni. « Si on court, notre cœur va battre plus vite », illustre-t-elle.

Pour soigner ces désagréments, il faut réadapter le corps à l’effort, en organisant des sedutances de sport, par esempio. Il permet une meilleure circolazione sanguigna, et donc un meilleur apport vers le cerveau.

« Ça peut paraître paradoxal de pousser quelqu’un de fatigué à aller faire un footing, mais c’est comme ça qu’on peut régler le problème. Le sport, pratequé comme il faut, ne peut être que bénéfique pour le corps. »

«Il fatto entre 3 et 12 mois de riadattamento avant que le Patient ne soit complètement rétabli », conclut la spécialiste.

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