Mark Vande Hei, l’astronauta della NASA qui vient de passer 355 jours dans l’espace, avait rejoint l’ISS avec un vaisseau Soyuz russe. L’emprunte aujourd’hui le même véhicule pour rentrer sur Terre. Son attterrissage dans les steppes kazakhs se fera aux côtés de ses collègues russes.
De nombreux program spatiaux sont impactés par l’invasion russe it Ucraina et le train de sanzioni qui a suivi. La gestione della stazione spaziale internazionale, il programma martien Exomars sont directement impactés. Sans compter les tweets rageurs de Dmitrij Rogozin
Dès les premières sanzioni, il patron de l’Agence Spatiale Russe avait minacé les américains de laisser retomber l’ISS sur Terre, arguant que sans les vaisseaux “pousseurs” Progress, l’altitude du complexe spaziale’s international perdait. Une demi vérité tant l’interdépendance tra Russes et Américains est grande sur ce progetto. Les partenaires ne peuvent se passer les uns des autres en réalité.
Su ne sait rien des dernières semaines de cohabitation américano-russe dans l’ISS. Le relazioni tra Mark Vande Hei, venu il ya presqu’un an avec le Soyuz et ses deux collègues cosmonautes russes se sont-elles dégradées ? Parlent-ils de la situazione au sol, des sanzioni, de l’avenir de la coopération space ? Rien ne filtro.
Silenzio radio coté russe
Ce qui est sûr, c’est que la routine de rentrée sur Terre se déroulera comme si de rien n’était. Les trois hommes prendront place dans la capsule Soyuz, habillés de leur scaphandre. Anton Shkaplerov, il comandante, Pyotr Dubrov et Mark Vande Hei se détacheront de l’ISS alle 12:21, heure de Paris, pour atterrir deux heures plus tard dans la steppe khazahk. I membri della NASA e il Roscosmos (l’agenzia spaziale russa) sono stati informati per l’abitudine, sono stati aggiunti all’esterno della capsula calcinata. L’Americain, en particulier, après 355 jours d’apesanteur, pourrait manquer de force musculaire pour se tenir debout. Su immaginare les échanges limités mais pas forcement glaciaux entre les équipes jusqu’à ce que la NASA embarque dans l’avion retour vers les Etats-Unis.
Depuis le début du conflit, l’activité s’est poursuivie dans l’ISS : expériences scientifiques, maintenance, sortie extravéhiculaire. Aucun des membri d’équipage, composé de dix astronautes ne s’est épanché sur la situation géopolitique en cours. Les cosmonautes russes n’ont plus twitté depuis la fin février mais tout le monde a fait comme s’il ne se passait rien. Deux sujets sont tabous à bord : la politique et la religion rappelait Thomas Pesquet lors de la mission Alpha. Il s’est pourtant trouvé quelques esprits taquins pour associer la couleur des combisons des arrivints (jaune canari avec quelques empiècements bleus) pour y voir un rappel du drapeau ukrainien.
L’ISS en a vu d’autres
Russes comme Américains, les deux principaux partenaires sont obligés de maintenir une collaboration sans état d’âme compte tenu des engagements qui les lent. Dans le grand complexespace, les module sont séparés et il n’est pas rare qu’on reste dans son quartier. Thomas Pesquet per esempio raconté il figlio del collega Oleg Novitsky richiede il sistema di permesso di venire a viaggiare nel modulo europeo pendente in missione. Les repas ne sont pas systématiquement pris ensemble. Il est donc possible sans augmenter la tensione di convivenza même dans un espace clos comme l’ISS.
Les astronautes et cosmonautes sont rompus à l’exercice et choisis pour leur capacité à surmonter les tensions. “Il ya eu des momenti plus tendus dans l’histoire de la conquête space” afferma Xavier Pasco, direttore della Fondation pour la Recherche Stratégique. En dépit des déclarations de Dmitry Rogozyn, toutes les activités se sont poursuivies normalement parce que”tous les acteurs opérationnels de l’ISS sont d’accord pour maintenir le partenariat” souligne de son côté Jean-François Clervoy, antico astronauta e presidente di Novespace.