De nombreuses entreprises de titres-services augmentent sensiblement leurs frais. Prix du carburant, de l’énergie, condition salariales des aide-ménagères… le secteur dit ne pas avoir le choix.
“Est-ce réellement légal de nous facturer 2€ de plus par titre-service alors que nous n’avons rien signé en ce sens?”, nous écrivait il ya quelques jours Caroline, une maman de la région namuroise. Et elle n’est visiblement pas seule à s’inquiéter de ce type d’augmentation. Plusieurs personnes nous ont joint via le bouton orange Alertez-nous. I clienti informano per l’impresa di pulizia que des augmentations seraient ou sont déjà opérées., sous forme de frais administratifs.
Ca maintient un emploi local
Caroline fait appel à des aiutanti-ménagères pour son repassage. Elle a récemment reçu une lettre de son entreprise de titres-services, ‘Home Clean’, lui faisant part de cette hausse de 2 euros. Cette hausse est détaillée par “il materiale necessario, la posizione del luogo permanente dell’attività, mais aussi la flambée des prix de l’energie.” Nathalie Garcia è la directrice de ‘Home Clean’. Elle justifie cette augmentation à notre micro:”C’est urgent maintenant car les frais sont de plus en plus élevés et importanti (…). Un momento donné, cette perte devient trop importante. S’offrent à nous deux possibilités : ou on ferme les centralis de repassage, choix qui a été opéré par bon nombre de société concurrentes, soit on maintient l’activité de repassage et on demande des frais complémentaires. Je me suis positionné pour ce maintien car on travaille avec des locaux (loués). Ca maintient un emploi local. J’ai privilégié ce choix-là.”
Depuis 2014, la gestion du régime des titoli-services est devenue une compétence régionale. En Wallonie, su 9 euro pagati per il cliente, una deducibilità fiscale di 0,9 euro su 150 premiers titoli-services est octroyée. A Bruxelles, les chiffres diffèrent. Chaque année vous pouvez bénéficier d’une réduction d’impôt de 1,35€ per chacun des 163 premiers titoli-services solicités par personne.
Una questione d’obbligo
Nathalie Garcia pointe du doigt justement ce prix du titre-service (9 euro) inchangé depuis 2014 malgré l’inflation et les crisis: “Depuis 2014, il prezzo del titolo è di 9 euro all’achat. Donc 10,10 euro (+2 euro richiesti) est-ce beaucoup pour une heure de travail effectué par une professionnelle du repassage avec du matériel professionnel ?”, interrogare-t-elle. Et d’illustratore: “Si vous avez un jardinier qui vient au noir, il vous demande plus que 10,10 euros. (…) Le montant qui nous est donné par titre-service rentré est insuffisant pour couvrir la totalité de ces frais. Un moment on est oblique de le faire”.
Le recours à ces frais complémentaires est la seule solution
La fédération des Employeurs de Titres-Services, Federgon, ne dit pas autre ha scelto et tire la sonnette d’alarm. Il faut dire que le secteur vit une période “de très grosse hardé“, selon Federgon. Raison pour laquelle à défaut de voir une augmentation du prix décidé par chacune des trois Région, “le recours à ces frais complémentaires est la seule solution”, explique Arnaud le Grelle, direttore della struttura per la Wallonie et Bruxelles. Il évoque les augmentations en cours sous forme de frais administratifs: “Soit le client comprend la necessité de payer ses frais complémentaires et il marque son accord, ou bien il ya rupture du contrat.”
Pour Federgon si ces frais ont tendance à se multiplier, c’est égallement parce que le prix du titre-service n’a past été augmenté depuis 2014 et que les entreprises ont “une rentabilité trop faible et dans un certo nombre de cas, elle ne permet plus de justifier la rentabilité minimalTuta intera Arnaud le Grelle: Il faut clairement qu’on se remette autour de la table pour discuter de l’ensemble des points. Le premier consiste à trouver à refinancer le secteur. Sachant que les Régions n’ont pas très envie d’augmenter leur intervento – ce qu’on peut comprendre compte tenu de leur situazione budget – la seule consiste à demander aux particuliers une intervento majorée, c’est-àugmentà-dile prix du chèque .”
Une réforme du secteur en cours de finalization
Et l’heure n’est pas à la fête dans le secteur des titres-services. Le secteur demande aussi depuis des mois de meilleurs salaires et un meilleur remboursement des déplacements professionnels.
Seule lueur d’espoir dans le secteur, une grande réforme est annoncée (et espérée avant l’été) per il 2022 a Bruxelles. Non riformato”en corsi di finalizzazione“, selon le cabinet du ministre de l’Emploi bruxellois. Trois pistes sont envisagees dont celle qui mène à revenir sur le prix du titre-service, inchangé donc depuis 2014. Les autres pistes mènent à “la deducibilità fiscaletu à “jouer avec le nombre de titoli-services” fissati a 163 a Bruxelles ea 150 in Vallonia. Affaire à suivre, mais un changement imminent est annoncé.
Côté wallon, la Ministre de l’Emploi, Christie Morreale se dit “soucieuse de préserver l’équilibre général du système et a entamé la réflexion sur les moyens d’encadrer ce type de pratiques (Ndlr: augmentation des frais administratifs).” Un change de décret est annoncé.
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