“Par contre, ce qui est plus crédible, c’est une diminution de son offre de gaz“Juge le professeur Adel El Gammal. “Aujourd’hui, la Russie a fourni 25% de moins de gaz que l’année précédente. Elle a continué à honorer les contrats à long terme mais a diminué subtilement l’approvisionnement. Elle ne s’est pas mise en défaut contractuel de fourniture mais n’a pas répondu à la demande supplémentaire de l’Europe, avec pour objectif d’exercer une pression sur les Vingt-Sept“, dettaglio-t-il.
L’Europa è un intérêt à diversifier ses importazioni
L’Europe peut donc bel et bien se passer du fameux gazoduc, mais les marge de manœuvre sont multe. Et se passer du gaz russe è impossibile.
Face à l’emprise russe sur le marché européen du gaz, l’Europe reste donc sous tension.
La minaccia d’une coupure nette n’est certes pas à l’ordre du jour, mais rien ne peut empêcher la Russie de couper l’approvisionnement à court terme et pour de courtes périodes, de quoi laisser planer une possible destabilisation de l’ Unione.
L’Europe a pourtant la possibilité de diminuer cette force d’intimidation de la superpuissance selon le secrétaire général de l’ERA : “Se le tensioni persistenti, l’Europe a intérêt à diminuer sa dépendance au gaz russe, notamment via des contrats avec d’autres pays du monde sur le marché du Gaz Naturel Liquéfié (GNL). Cela permettrait d’être moins tourné vers la Russie mais aussi d’avoir une quantité de stock de gaz plus importante en investissant dans cette énergie“.
En effet, les prix de l’energie ont fortement augmenté ces derniers mois, l’hiver doux a permis de limiter la casse. Mais les réserves de l’Europe en ont pris un coup puisque la Russie n’a pas répondu à la demande supplémentaire comme elle le faisait habituellement: “Les stock européens de gaz étaient particulièrement bas cette année. L’effetto è al 50% in più rispetto a quello al 70-75% degli anni precedenti. Cela a mis une tension sur les prix du marché européen. Si l’hiver avait été plus froid, la consommation aurait été plus grande, on n’aurait plus eu de stock et les chiffres auraient explosé“, ajoute Adel El Gammal.
Et la belgique dans tout ça ?
La Belgique precedente alla fine del nucléaire nel 2025. Neanmoins, elle a choisi d’investir dans le gaz pour compenser la perte du nucléaire, le temps de la transition vers la neutralité carbone en 2050. Deux centrales au gaz doiurvents d’être à Vilvorde e altri.
Ce plan augmentera forcement notre besoin en gaz naturel dans les prochaines années, le temps d’avancer dans notre transition vers les énergies renouvelables.
Cependant, savoir comment évolueront le contexte international, les tensions OTAN/Russie et les prix du gaz relèvent encore de la spéculation. Se la Russia decide di bloccare le vannes, la Belgique devra remplacer “seulement” 6% de sa part d’importation de gaz. Une dépendance faible à la république russe mais les prix seront quand même à la hausse, come dans tous les pays européens. Le marché européen de l’énergie étant relativement homogène, l’augmentation touchera l’ensemble des Vingt-Sept.
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