En augmentant la part de protéine dans leur alimentazione, les hommes ne pensent pas forcement Impacter leur testosterone. Et pourtant, une récente étude prouve le contraire. Selon des Conclusions (fonte 1) publiées dans la revue Nutrition and Health le 7 mars dernier, les régimes riches en proteines diminuente del 37 % il testosterone chez les hommes. Ces régimes hyperproteinés sont composés de viande, d’œufs, de poissons et de poudres proteinées.
Des chiffres qui ne seraient pas sans risque puisque ce taux affaiblit la testosterone et pourrait ainsi Augmenter le Risque d’infertilité et diminuer le nombre de spermatozoïdes. Cette decouverte a été faite dans la cadre de l’analyse de 27 studi portant sur plus de 300 hommes par des scientifiques de l’université de Worcester en Angleterre (Royaume-Uni).
De faibles niveaux de testosterone sont lies à un osé plus élevé de maladies chroniques comme les maladies cardiaques, le diabète et la maladie d’Alzheimer. Les chercheurs ont découvert que les partecipanti qui consommaient un regime moderno di proteine avec une faible quantité de glucides ne voyaient pas de modification dans leur testosterone. Toutefois, les adeptes des régimes riches en protéines et faibles en glucides “diminuaient considérablement la testosterone total au repos et après l’exercice” ce qui suggère que “les personnes do qui consomment de tels prudent réquêê aux effetti endocriniens indésirables“.
Des niveaux élevés de cortisolo
Selon cette étude, une forte diminution du taux de testosterone e été observée chez les volontaires qui consommaient plus de 35% de proteines. preciso, le taux de testosterone scivolo del 37%. Pour éviter cette situation, Joseph Whittaker, autore principale dell’étude recommande aux personnes qui suivent un régime hyperprotéiné de “limiter leur consommation de proteines à 25% au maximum”.
Enfin, dans le cadre de cette étude, les chercheurs ont constaté que les régimes pauvres en glucides augmentaient l’ormone cortisolo. Des niveaux élevés de cortisolo altèrent il sistema immunitario rendant ainsi l’organisme plus vulnerabile faccia aux infezioni virali.