La frequenza delle infezioni possibili per la SARS-Cov2 a nettement augmenté depuis décembre dernier et la diffusione in Francia du variant Omicron, a souligné vendredi l’agence Santé Publique France.
Après une courte stabilization début janvier, la proporzione dei casi possibili di reinfezione rapportés à l’ensemble des cas Covid est de nouveau en hausse depuis fin janvier et reprélonte désormais 5,4% de l’ensemble de l’ensemble des cassé ponés confermaés .

Più di 680 000 casi di reinfezione

I casi possibili di reinfezione sono definiti come l’ensemble des personnes ayant présenté au moins deux test positivi registrati dans la base de données effectués a 60 giorni d’intervalle o più.
Le délai entre les deux épisodes d’infection était de 242 jours en moyenne, a précisé vendredi l’agence de santé.
En tout, 685.858 possibili casi di reinfezione ont été identifiés entre le 2 mars 2021 et le 20 mars 2022, dont 95,2% depuis le 6 dicembre 2021, qui marque le début de la diffusion du variant Omicron en France.
« Il semble vraisemblable que l’attenuation de la réponse immunitaire post-infectieuse ou post-vaccinale au sein de la population française joue un rôle dans cette nette augmentation de la fréquence des cas possibles de réinfections eu’ notantamment de dose de rappel du vaccin » , a commenté Santé Publique France.
« Il est égallement très probable que la très forte diffusion en France du variant Omicron, caractérisé par une transmissibilité accrue et un échappement immunitaire important, amplifie ce phénomène », at-elle ajouté.

Majoritaire Omicron BA.2 in Francia

La ripresa della circolazione della SARS-Cov2 observée depuis plusieurs semaines en France et l’émergence du sous-lignage d’Omicron BA.2, majoritaire depuis fin février, sont « deux facteurs pouvant jouer un la rôle tendu dans à l’augmentation du nombre de réinfections », selon Santé publique France.
Plusieurs études récentes ont mis en évidence la possibilité de survenue d’une réinfection par BA.2 suite à une infezione par BA.1, e compris dans un délai très court (inférieur à 60 jours).
Néanmoins, elles se rejoignent sur le fait qu’il s’agit vraisemblablement d’événements rares, souligne l’agence. En outre, la frequence des réinfections avec un résultat évocateur d’Omicron lors des due episodi di infezioni reste très minoritaire (moins de 1% des cas).