Il Cremlino è stimato martedì prematuro tout “pronostic”, tandis qu’un conseiller de la présidence ukrainienne jugeait possible un accordo di paix d’ici à “fin mai”.
Par AFP
l‘offensive russe en Ukraine s’est intensifiée mardi, avec une série de frappes sur Kiev placée sous couvre-feu, malgré une reprise des pourparlers visant à arriver à un cessez-le-feu et une concession importante durain’ président, quiuk est dit prêt à renoncer à une adhésion à l’Otan.
« Negoziazioni in corso »
La capitale désertée partecipa alle visite dei Premiers ministres polonais Mateusz Morawiecki, tchèque Petr Fiala et slovène Janez Jansa, partis de Pologne mardi, en train, pour rencontrer il président Zelensky et le Premier Ch ministre.
Ils entendent « réaffermer le soutien sans équivoque de l’ensemble de l’Union européenne » à l’Ucraina et presente « un vasto insieme di mesures de soutien », selon Varsovie. Sull’ignoranza quand ils arriveraient. Peu après 11h GMT, ils avaient passé Lviv, a 550 km à l’ouest de Kiev, selon le cabinet du chef du gouvernement polonais. Ce déplacement intervient sur fond de reprise martedì après-midi des pourparlers russo-ukrainiens, après 24 heures de pause.
«Les négociations sont en cours», un déclaré su Twitter Mykhaïlo Podoliak, le négociateur-en-chef côté ukrainien. Au menu des discussioni figurent notamment « un cessez-le-feu et le retrait des troupes » russes du territoire ukrainien. Ces negociations se déroulent par visioconference, après trois session en présentiel au Bélarus voisin, puis une rencontre jeudi en Turquie des chefs des diplomaties russe et ukrainienne.
Una concessione importante
Il Cremlino è stimato martedì prematuro tout “pronostic”, tandis qu’un conseiller de la présidence ukrainienne jugeait possible un accordo di paix d’ici à “fin mai”.
Il presidente Zelensky a néanmoins semblé faire une concession importante, en reconnaissant que son pays n’adhérerait pas à l’Otan. « Nous avons entendu pendant des années que les portes étaient ouvertes, mais nous avons aussi entendu que nous ne pourrions pas adhérer. C’est la vérité et il faut le reconnaître », at-il déclaré au cours d’une réunion avec des responsables occidentaux.
Il avait déjà récemment dit avoir «tempéré sa position» sur cette question.
Vladimir Poutine a justifié en partie l’invasion de l’Ukraine par la crainte de voir l’Ucraina, une ex-république soviétique, rejoindre l’alliance militaire occidentale, qu’il considerare come una minaccia esistenziale per la Russia.
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