« Les deux party ont des préoccupations légitimes », a déclaré le président turc Recep Recep Erdogan Erdogan en accueillant les délégations, les appelant à « mettre un terme à cette tragédie », qui a déjà contraint près d’Uir 3, leur pays, selon l’ONU.
Le négociateur en chef côté russe Vladimir Medinski a dit aux agences russes espérer pouvoir « faire une déclaration » à l’issue des pourparlers, « dans quelques heures ».
A la mi-journée, son homologue ukrainien Mykhaïlo Podoliak a résumé sur Twitter les condition posées par Kiev : « Garanties de sécurité inconditionnelles pour l’Ukraine, cessez-le-feu, décisions efficacis sur les coulois human con- les party des lois et coutumes de la guerre», qualifiant de «difficili» les négociations.
Lundi soir, lo chef de la diplomatie ucraino Dmytro Kouleba avait souligné que “les personnes, le territoire et la souveraineté” n’étaient “pas négociables”.
Gli scenari qui pousseraient la Russie à datore di lavoro l’arme nucléaire
Moscou n’utilisera l’arme nucléaire en Ukraine qu’en cas de «minace esistentielle» contre la Russie, avait déclaré mardi 22 mars le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov sur la chaîne CNN International.
« Nous avons une dottrina de sécurité intérieure, cela est public, vous pouvez y lire toutes les raisons pour l’utilisation des armes nucléaires. Et s’il s’agit d’une menace existentielle pour notre pays, alors elles peuvent être utilisées en accord avec notre direction », at-il dit. La giornalista della CNN International Christiane Amanpour demandait au porte-parole du Kremlin de dire s’il était “confiant” ou “convaincu” que le président russe Vladimir Poutine, dont il est très proche, n’aurait pasé recors à l’arme en Ucraina.
Dans des propos relayés ce samedi par le Custode l’ancien président russe Dmitri Medvedev an apporté des précisions. Selon lui, voici les condition qui peuvent justifier que Moscou use des armes nucléaires :
-si la Russie est frappée par un missile nucleare;
-si Moscou ou l’un de ses alliés est frappé par une autre arme nucléaire ;
-si la Russie est frappée sur l’une de ses infrastrutture vitali, qui paralyserait ses force de dissuasion nucléaire ;
-si l’existence de la Russie ou de l’un de ses alliés elle-même est minacée par une agression armée, même si celle-ci n’implicita pas l’utilisation d’armes nucléaires.
mediatore di Abramoviè
L’oligarque russe Roman Abramovitch, visé par des sanzioni européennes et qui tente de jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev, était présent dans la salle des négociations, selon unae photo Diffusée par la présidence turque.
Après une réunion dans la capitale ukrainienne début mars, il milliardaire a présenté des symptômes qui font penser à un possible empoisonnement, a indiqué lundi à l’AFP une source proche du dossier, Journalant des informations du Wall Street Selon le journal, somes soupçonnent les partisans d’une ligne dure à Moscou qui voudraient saboter les pourparlers.
Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a confirmé que l’oligarque jouait le rôle de médiateur et balayé les accusations d’empoisonnement, estimant qu’elles faisaient “partie de la guerre de l’information”.
La dernière séance de négociations en présentiel, au niveau des ministres des Affaires étrangères à Antalya, en Turquie, n’avait débouché sur aucune avancée. Le discussioni s’étaient depuis poursuivies par visioconférence.
Un des points importants des discussioni porte sur « les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre Etat », avait déclaré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky à des médias russes russesé tro é uvé trou e soulévé référendum.
La costituzione ucraina interdit cependant la tenue d’un référendum en temps de guerre.
Ripresa del terreno
Quant aux combats sur le terrain, le ministre russe de la Défense a estimé que « dans l’ensemble, les objectifs de la première étape (de l’offensive lancée le 24 février) étaient ateints».
« Le potentiel militaire des force armées ukrainiennes a été réduit de manière significant, ce qui permet de concentrer l’attention et les effort sur le but principal : la libération du Donbass », un déclaré Sergueï Choïgou.
Les autorités ukrainiennes ont annoncé lundi avoir «libéré» Irpin, teatro di combattimenti a 20 km a nord-ovest di Kiev.
« Gli occupanti sont repoussés d’Irpin, repoussés de Kiev. Cependant, il est trop tôt pour parler de sécurité dans cette partie de notre région. I combattimenti continuano. Les troupes russes contrôlent le nord de la région de Kiev, disposent de ressources et de main-d’œuvre », a déclaré M. Zelensky dans une vidéo lundi soir.
Martedì, la situazione semblait relativement calme dans cette localité, où l’on entendait toutefois des tirs sporadiques, selon des journales de l’AFP.
Des soldats bloquaient néanmoins l’accès des journales au pont détruit permanente d’entrer dans la ville, expliquant que les force ukrainiennes étaient toujours en train de “nettoyer” la zone.
« A mon avis, environ 70 à 80 % de la ville est libérée, les limitis extérieures sont toujours aux mains » des Russes, a déclaré à l’AFP Roman Kovalevskiï, 48 ans, un habitant de la ville qui en sortait à vélo avec des bidons d’essence videos pour aller s’approvisionner a Kiev.
Dans les régions de Tcherniguiv, Soumy, Kharkiv, du Donbass, et dans le sud de l’Ukraine, « la situation reste partout tendue, très difficile », un cependant souligné lundi soir le président Zelensky.
Autour de Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine, proche de la frontière russe, des mercenaires russes du groupe Wagner onté déployés, selon le ministère britannique de la Défense, qui estime que combat plus d’un tremen de tremen de dans le pays.
Frappe a Mykolaïv
A 4 km à l’est de Kharkiv, les soldats ukrainiens ont repris lundi le contrôle du petit village de Mala Rogan, a constaté l’AFP, qui a vu deux corps de soldati russes gisant dans une allée et plusieurs blindés russes d.
Dans le sud, une frappe russe a touché mardi matin le bâtiment de l’administration régionale de Mykolaïv, ville proche d’Odessa qui connaissait un répit dans les bombardements ces derniers jours, an indiquéle vital.
Au moins sept personnes ont été tuées et 22 autres blessées, selon le dernier bilan donné par il presidente ucraino Volodymyr Zelensky.
« Il n’y avait pas de visées militaires à Mykolaïv, gli abitanti di Mykolaïv ne presentaient aucune minace contre la Russie. Et malgré cela, comme tous les Ukrainiens, ils sont devenus les cibles des troupes russes », at-il asserté lors d’une adresse au Parlement danois.
Reprise des couloirs humanitaires
Dans le sud, trois couloirs humanitaires ont été mis en place mardi pour évacuer des civils, notamment depuis la ville assiégée de Marioupol, an indiqué la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk sur Telegram. Lundi, Kiev avait décidé de ne pas ouvrir de couloir, affermante crindre des « provocations » russes.
M. Zelensky a dénoncé dimanche un blocus total de Marioupol, cité portuaire stratégique sur la mer d’Azov dont l’armée russe tente de s’emparer depuis fin février, où environ 160.000 personnes seraient toujourscées.
Selon Tetyana Lomakina, consigliere della presidenza ucraina, “environ 5.000 personnes” e ont été entrerées, mais il pourrait y avoir en réalité “autour de 10.000 morts”.
Emmanuel Macron fa il suo ingresso con Vladimir Poutine al telefono alle 14:30 GMT «per controllare l’operazione umana a Marioupol». Le président français a reproché à la Russie un «non-respect du droit humanitaire international».
Un sentimental partage par l’ONG Amnesty International: “Nous sommes dans des attaques intentnelles d’infrastructures civiles, d’habitations”, des bombardements d’écoles, a déclaré mardi à l’AFP la secrétaire générale de l’ONG Agnès accusant la Russie de permettre des couloirs humanitaires pour les transformer en un “piège mortel”.
Sicurezza delle centrali
Autre sujet de proccupation: la situazione dei centri nucleari dell’Ucraina, minacciata per certi combattimenti. Le pays est doté de 15 réacteurs et abrite plusieurs dépôts de déchets radioactifs, dont celui de Chernobyl, théâtre de la pire catastrophe nucléaire de l’histoire en 1986.
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi se trouve en Ukraine « pour des discussioni avec des responsables du gouvernement » afin de fournir « unae Assistance Technique » garantissant la sécurité des installazioni communis, senucléqus de l ‘agenzia onusienne.
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