Ministre déléguée chargée des sports, Roxana Maracineanu était presente ce lundi en la cité d’ingres pour visiter la maison sport santé récemment labellisée. L’occasione per incitare tout le monde à avoir une activité physique plus régulière.
Un’agenda del ministero est millimétré. Pourtant, hier, Roxana Maracineanu a un peu plus pris son temps, en visitant la maison sport santé de Montauban, récemment labellisée. Visiblement ravie, elle a été accueillie par les deux responsables de l’association « Bouger pour s’en sortir » Sylvie et Cécile Bros, à l’origine de la création de cette maison. Depuis 2009, l’associazione vient en aide aux personnes qui en ont le plus besoin et qui, à travers une activité physique, trouvent leur chemin vers une meilleure confiance en soi. Deux maisons sport santé esistente aujourd’hui dans le Tarn-et-Garonne, à Moissac et Montauban. « L’association aide à renouer du lien social, à adopter un comportement sain, à se préparer physiquement à un projet de vie et/ou à un emploi et à se réinsérer dans la société avec un accompagnement comportmental., professione sociale, que professione Il faut parvenir à avoir une autre image de soi » expliquent les deux responsables. Attività in relazione con il comitato dipartimentale dell’handisport, il comitato di sport adattato… Roxana Maracineanu a me payé de sa personne en partecipante elle-même aux ateliers hier. « Je suis à Montauban pour promouvoir ce que nous inscrivons dans une loi qui qui sera votée jeudi à l’assemble nationale, à savoir une attention particulière continue de prescrire plus largement le sport sur ordonnance, aux mérat édecins de sérique importanti… activité physique dans son quotidien pour aussi anticiper la perte d’autonomie. Ici à Montauban est accueilli toute sorte de public à duquer o rééduquer à l’importanza dello sport e l’attività fisica. Pour ce faire des outils sont mis à disposition, comme des outils numériques. C’est un bel esempio » a expliqué la médaillee olympique de natation.
Una modalità di pensiero e di valore in retro
Laquelle a égallement longuement conversé avec tous les acteurs qui essaient de rendre l’accès au sport possible pour le plus grand nombre. « C’est une venue qui était très importante pour nous. C’est la reconnaissance du travail qui est fait dans l’association. Nous avions un peu de stress car on se dit qu’on a un beau projet et qu’on a envie de montrer que les adhérents sont bien avec nous, que nous avons envie de les accompagnagner dans leur parcours de vie. Du coup elle a tout vu et elle a tout fait (sourire). C’est sympa d’avoir joué le jeu des activités physiques. Au-delà de l’asso cette journée a été l’occasion de mettre un éclairage sur un mode de fonctionnement, un mode de pensée et des valeurs à retrouver pour la société » nota Sylvie Bros.
Laurent Lasserre.
Fiamma olimpica: le condizioni del Tarn-et-Garonne
La polémique du moment c’est incontestablement le passage de la flamme olympique juste avant les Jeux de Paris 2024. Si des départements ont déjà ouvertement opposé leur véto jugeant le tarif demandé exorbitant (180 000 euroset-ne-learn), Learn ‘est pour l’instant pas positionné, son président Michel Weill posant ses condition: « On dit nous aussi que c’est trop cher. En revanche si nous arrivins à nous regrouper avec d’autres départements, d’autres amministrazioni come il Grand Montauban, les communautés de communes, pour partager le gâteau, pourquoi pas. Pour l’heure, c’est sûr on n’ira pas. Après, sur quel chiffre se baser, on ne sait pas, cela demande des discussioni. L’argent est compliqué à trouver. Je pense qu’on serait sérieusement critiqué, à juste title, si on met une telle somme pour le passage de la flamme olympique, alors qu’il ya des besoins plus importanti, et d’autres priorités. Interrogée sur ça, Roxana Maracineanu precisa: «Des départements vont se saisir de l’occasion pour organizer des manifestazioni autour du passaggio de la flamme olympique. C’est un investissement comme un autre qui ne doit pas peser uniquement sur le budget sport de ces collectivités car les Jeux sont aussi un attrait touristique. Ce n’est pas l’état qui demande cet argent mais le comité d’organisation des Jeux olympiques ; en tant que ministre je suis intéressée par ce sujet parce que c’est rendre lo sport plus concret dans la vie des gens.