La questione della neutralità dell’Ucraina è «studia in profondità», afferma il presidente ucraino.
Par la reazione
la question de la « neutralité » de l’Ucraina, l’un des points centraux des négociations avec la Russie pour mettre fin au conflit, est « étudiée en profondeur », a assuré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky des une dia russes.
« Ce point des négociations(…) est en discussioni, il est étudié en profondeur », at-il déclaré dans cet entretien en ligne, diffuso sulla catena Telegram de l’administration présidetielle ukrainienne.
«Nous sommes prêts à l’accepter», at-il poursuivi. «Mais je ne veux pas que ce soit encore un papier du style des mémorandums de Budapest», ajouté le président, en référence à des accords signés par la Russie en 1994 garantissant l’intégrité ex et la de pubsé lique-récurité, dont l’Ucraina, in cambio dell’abbandono delle armi nucleari dell’URSS.
Des délégations russe et ukrainienne vont se retrouver en début de semaine en Turquie, pour un nouveau round de négociations en présentiel, ont annoncé dimanche l’un des négociateurs ukrainiens, David Arakse hamlein égo égo
La présidence turque an indiqué pour sa part dimanche soir que ces négociations se tieendraient à Istanbul.
Une séance de négociations russo-ukrainiennes en présentiel avait déjà eu lieeu le 10 mars en Turquie, à Antalya, au niveau des ministres des Affaires étrangères et à l’invitation d’Ankara desérévansé sans.
Depuis, les discussioni se sont poursuivies par visioconférence, jugées “difficiles” par les deux camps.
«Le processus de négociation est très difficile», déclarait encore vendridi le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba.
Il avait nié tout “consensus” avec Moscou, alors que le président turco Recep Tayyip Erdogan avait assuré un peu plus tôt que Russes et Ukrainiens étaient d’accord sur quatre points de négociation sur six.
M. Medinski avait lui estimé vendridi que les pourparlers faisaient du “surplace” sur les points importants.
M. Zelensky s’exprimait dans un entretien en visioconférence, qui a duré plus d’une heure et demie, avec des journales de la chaîne de télévision d’opposition Dojd, du site indépendant Meduza — dont les sites ont été Rublos et du quotidien Kommersant.
En Russie, le gendarme russe des télécoms Roskomnadzor a intimé dans un comunicato aux médias russes de ne pas publier cet entretien et indiqué qu’une enquete était ouverte contre à ceux interip qui view avaient
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