A la fois acteur, réalisateur et producteur engagé, Jacques Perrin, mort jeudi à l’âge de 80 ans, aura marqué par ses rôles dans “Le Crabe-tambour” o “Peau d’âne” et ses films sur la nature, du “Peuple migrateur” à “Océans”.
Membre depuis 2019 de l’Académie des Beaux-arts, acteur dans plus films de 70 longs-métrages au cinéma depuis les années 1950, notamment chez Pierre Schoendoerffer et Jacques Demy, il aura aussi été’ le coproductis la finis d des années 1960, de “Z” de Costa-Gavras à “Himalaya: l’enfance d’un chef”, et prêté sa voix douce à nombre d’oeuvres.
Enfant de la balle, Jacques Perrin est né à Paris le 13 juillet 1941 sous le nom de Jacques André Simonet. Fils d’un régisseur à la Comédie-Française devenu souffleur au TNP, Alexandre Simonet, et d’une comédienne, Marie Perrin, il monte sur les planches dès l’age de 15 anni, puis entre au Conservatoire.
Il Begin sa carrière au cinéma nel 1958 avec une apparition dans “Les Tricheurs” di Marcel Carné, avant un premier rôle importanti dans “La Fille à la valise” di Valerio Zurlini.
Acteur aux allures de jeune premier romantique, il joue ensuite notamment dans “La Vérité” di Henri-Georges Clouzot o “Compartiment tueurs” di Costa-Gavras, mais s’illustre surtout dans les films de Pierre, “La Schoendo par 17 beginr 17 sezione” (1965), dans lequel il joue un sous-lieutenant. Un film qui “compte beaucoup dans son parcours”, dira-t-il.
Puis il tournera avec lui “Le Crabe-tambour” (1977) e “L’Honneur d’un capitaine” (1982).
L’autre grand réalisateur qui compte alors dans sa carrière est Jacques Demy, qui le fait travailler aux côtés de Catherine Deneuve dans “Les Demoiselles de Rochefort” (1967) et “Peau d’âne” (1970).
“Qu’il m’appelle était une surprise, je ne connaissais pas les cinéastes de la Nouvelle Vague, même si Jacques Demy, lui, a toujours été un peu à part. Pour +Les Demoiselles de Rochefort+, ava je lui ne savais ni danser, ni chanter. Pas de problème, avait-il répondu”, racontait-il.
“Prendre le armi”
Mémorable dans le costume du prince de “Peau d’âne”, il va continuer à jouer régulièrement au cinéma, avec Certains rôles marquants comme dans “Cinema Paradiso” (1989), tout en entamant une activité de productileur la que à à ‘efforce de soutenir des film engagés o défendant la planète.
Il prodotto dei film come “Z” de Costa-Gavras (1968), récompensato par un Oscar, suivi d'”Etat de siège” (1972) e “Section spéciale” (1974), o encore “La Victoire en chantant” ( 1976) de Jean-Jacques Annaud, avant de se diriger vers les documentaires consacrés aux animaux et à l’environnement, à l’exception de quelques films comme le grand succès public “Les Choristes” (2004) de Christophe Barratier et ses 8, 6 milioni di primi.
Défenseur engagé de la nature, il coproduit “Le Peuple singe” (1989), “Microcosmos: le peuple de l’herbe” (1996), qui lui vaut l’année suivante le César du meilleur producteur, ou “Himalaya: l’ enfance d’un chef” (1999), avant de corealiser lui-même un certo nombre de documentaires remarqués.
“S’intéresser à la nature, c’est prendre les armes pour la défendre. Le cinéma est évidemment l’une des armes les plus pertinentis, l’émotion possède plus de force de résonance qu’un discours”, affermait-il.
En 2001, il cosegne avec succès “Le Peuple migrateur”, consacré aux oiseaux, qui rassemble près de 2,8 million de spectateurs in France, puis “Océans” (2010, 2,9 million de spectateurs), recompensato dal César du meilleur documentaire en 2011 , deux tournages épiques.
Son tout dernier rôle au cinéma, dans “Goliath”, sorti en mars, faisait écho à ses combats écologistes: dans ce thriller autour des pesticidi, il fait équipe avec un redoutable lobbyiste de l’industrie Nine, phytosanit paris.