En 1986, lors d’une vente aux enchères organisée par TF1 au profit de l’association Care France, Yannick Noah a vendu une raquette, qu’il dit avoir utilisée pendant la finale de Roland-Garros gagnée trois ans auparavant.
Un passionné de tennis, Pierre R., dicembre 2020, l’a chetée 12.000 franchi, soit près de 2.000 euro, sur la base d’une attestation manuscrite signée par Yannick Noah.
Mais fin 2016, l’acquéreur décide de la vendre et la fait donc expertiser pour connaître sa valeur. Uno speciale dell’étude Drouot lui indique alors que cette raquette de la marque Coq sportif n’a jamais été utilisée per il tennisman lors de cette edizione del Roland-Garros.
L’homme, puis sa fille et son épouse, ont donc saisi le tribunal de Versailles pour que soit engagée la responsabilité de Yannick Noah pour avoir réalisé un fake document, et la responsabilité contractuelle de Careci France, de la éauxéventaire. La richiesta è di 35.000 euro di pregiudizio.
Le tribunal de Versailles, qui a jugé en février cette affaire, a déclaré jeudi cette action “irrecevable” car “prescrite”, la vente ayant été réalisée 33 ans avant la saisie du tribunal.
“Le tribunal a retenu notre argumentation. Cette action, plus de 30 ans après la vente, était évidemment trop tardive. Le reste n’était par ailleurs que fantasme”, a réagi vendredi auprès de l’AFP’ William Bouratdon, l’ancien tennista.
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