Le 3 février, il presidente americano Joe Biden avait annoncé la morte dell’ancien dirigeant de l’EI, Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi, qui s’était fait exploser au cours d’une opération des force speciali le dans améric nord-ouest de la Syrie, regione sous contrôle de djihadistes.
Son décès, ainsi que celui de l’ancien porte-parole du groupe avaient été confirmés par l’EI le 10 mars.
« Nous annonçons, en nous appuyant sur Dieu, une campagne bénie pour se venger » de la mort du chef de l’EI, a déclaré Abou Omar al-Mouhajir, le porte-parole du groupe, dans un comunicato audio diffuso dimanche su Telegram leur étant attribué.
L’EI a égallement appélé ses partisans à reprendre leurs attaques en Europe en saisissant «l’occasion» du « combat entre croisés», en allusion à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Abou Hassan al-Hachimi al-Qourachi, nouveau chef de l’organisation radicale sunnite, le troisième du groupe depuis sa création, a jusqu’ici peu fait parler de lui.
Aprile 2019.
Mais l’Etat islamique “maintient une présence largement clandestine en Irak et en Syrie et mène une insurrection soutenue de part et d’autre de la frontière entre les deux pays”, selon un rapport de l’ONU publié l’an dernier.
Dans ces deux pays, l’organisation djihadiste conserverait « en tout 10.000 combattants actifs », d’après la même source.
L’AI aussi revendiqué des attaques en Afghanistan et au Pakistan et des groupes jihadisti affiliati a una galleria aperta in Africa.
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