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Les pilotes vont faire lo spettacolo au-dessus de l’EPFL vendredi, en l’honneur des héros de l’espace. «Je suis très heureux de pouvoir voler pour eux», nous dit le 2e soliste, Lukas Nannini,
«J’ai toujours été fasciné par l’exploration space, depuis gamin. Je le suis bis. Alors pouvoir montrer ce que l’on sait faire à des astronautes Apollo, cela va être un vrai bonheur. Mais cela rajoute un peu de pression aussi. Lukas Nannini, qui vole à l’extérieur gauche de la formation de la Patrouille suisse se réjouit beaucoup du show qu’ils vont donner vendridi 18 mars à 11 h 15 au-dessus de l’EPFL, dans le cadre du spettacolo «Leggende dello spazio». D’autant plus que le Covid a rendu les sorties des six pilotes rares. Leur dernière, et unique en 2022, c’était mi-janvier, au-dessus de Lauberhorn per la Coupe du monde de ski alpin.
Le Tessinois de 33 ans a fait son premier vol avec la Patrouille en 2017. Il est l’un des deux solistes. «Nous allons rester groupés durant notre Exhibition d’un quart d’heure, vendredi. Il ya beaucoup de contraintes, la proximité avec la ville de Lausanne, les couloirs aériens vers l’aéroport de Cointrin, la frontière française sur le lac, on ne peut pas faire tout ce que l’on veut.
Trois varianti del programma sont prêtes, c’est la météo qui décidera de celle qui sera choisie. Les pilotes ne font en effet pas les mêmes figures suivant qu’il fasse beau ou pas et selon l’altitude du plafond nuageux. Ils survoleront le public à près de 1000 km/h, dista les uns des autres de 5 mètres al minimo. «On pense toujours à faire plaisir au public, mais qu’en fasse partie des astronauts des missions Apollo come Charlie Duke et Dave Scott, c’est quelque ha scelto. Nous avons affare à des expert. Claude Nicollier sait très bien piloter un jet égallement. Alors oui, nous sommes ravis de pouvoir faire une démonstration de nos talents, d’autant plus que nous sommes la seule patrouille en Europe à voler sur des jets de combat.
Ce sont en effet des F-5 que Lukas Nannini et ses coéquipiers pilotent. Lui qui è basato su Payerne et vole sinon sur des F/A-18 at-il de la peine à passer de l’un à l’autre? «Ce sont deux chasseurs de conception americaine, alors l’esprit est le même. Mais dans le F-5, l’élément central c’est le pilote alors que beaucoup de Chooses sont informatisées sur le F/A-18″.
Pouvoir leur serrer la main
Les pilotes de la Patrouille, qui viendront d’Emmen (LU) et y retourneront («on met 10-15 minutes pour faire le trajet, c’est plus rapide que l’autoroute») devraient ensuite être à nouveau présents vendredi soir, mais au sol, pour dédicacer des photos au public avant lo spettacolo de «Legends of Space». «J’espère que nous pourrons serrer la main aux astronautes, dit Lukas, dont le Surnom est Bigfoot. Cela représenterait un moment très fort dans ma vie». Et cela devrait plaire au dernier commandant d’une mission Apollo encore en vie puisque Dave Scott a, dans son bureau, un vieux poster de… la Patrouille suisse.
En attendant d’admirer en vrai les exploits de nos pilotes, on peut déjà se régaler avec les images que la Patrouille poste sur Tic tocça décoiffe!