C’est un acteur clé de la “micromobilité” bruxelloise qui se retrouve dans una delicata situazione. Billy Bike a requis une réorganisation judiciaire auprès du tribunal de l’entreprise de Bruxelles et cherche un repreneur, indiquent nos confrères de L’Écho.
Selon le quotidien économique, la pandémie a ralenti l’activité de Billy Bike, égallement mis en hardé par l’approvisionnement, l’augmentation des prix des matières premières.
“En temps de crisi, il nous a manqué un acteur économique solide à nos côtés, pouvant continue à financer notre développement”un indiqué au journal le patron, Pierre de Schaetzen.
Lanciato nel 2017 e attivo su 143 comuni bruxelloises, la société compte actuellement 600 vélos en “free-floating” sur le territoire régional. Nel 2020, Billy Bike ha lanciato un crowdfunding permanente di raccolta più 200.000 € per aumentare la flette e passare per la crisi sanitaria. Une crisi qui s’est avérée plus longue que prévu avec des conséquences sur la viabilité de la société…
Rompre avec Villo et sauver Billy
Pour Les Engagés (ex-cdH), la Région bruxelloise doit investir et sauver Billy Bike. Il suggerimento di lanciare un partenariato pubblico privato avec l’impresa per lo sviluppo del velo e fluttuante a Bruxelles. Le parti, qui siège dans l’opposizione à la Région, demande égallement de rompre le contrat villo qui la lie avec l’entreprise JC Decaux. À leurs yeux, celle-ci n’offre pas un service de qualité et la Région perd de l’argent. “Le momentum ne se présentera pas deux fois. L’alternative si elle ne fait pas ça, c’est de devoir, dans quelques années, lancer un service de vélos en free-floating depuis zéro, ce qui coûtera beaucoup plusis cher “Et su aura perdu encore du temps”estime le député Christophe De Beukelaer, cité dans un comunicato.
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