Interrogé sur les avertissements des Etats-Unis quant à l’imminence d’une possible invasion russe de l’Ukraine, il a assuré “partager une forte préoccupation” au sujet de cette minace.

“Nous vivons assurément, à mon avis, le moment le plus Dangereux pour la sécurité en Europe après la fin de la Guerre froide”, at-il dit. “Personne ne masse 140.000 soldats lourdement armés à la frontière d’un pays” sans que cela ne “représente une forte minace”, at-il estimé, en donnant une estimation du déploiement russe aux portes de l’Ukraine plus élev 11 hommes évoqués ces derniers jours par des responsables américains.

“140.000 militaires massés à la frontière, ils ne sont pas là pour prendre le thé!”, s’est exclamé Josep Borrell.

A ses côtés, il segreto di Stato americano in Antony Blinken a nié tout “alarmism” dans les mises en garde de Washington.

“Ce n’est pas de l’alarmisme, ce sont simplement les faits”, at-il dit lors d’une conférence de presse commune.

Les Américains et les Européens accusano il presidente russo Vladimir Poutine de vouloir preparer uneventuelle invasion de l’Ucraina, et minaccioso de sanzioni economiche massicce s’il passe à l’acte.

“Nous ne pensons pas que M. Poutine a pris sa décision, mais il a mis en place les moyens, s’il devait décider de le faire, pour agir très rapidement contre l’Ukraine d’une manière qui aurait des pours conséquences l ‘Ukraine, la Russie et pour nous tous”, insistente sulle chef de la diplomatie americane.

Les deux hommes ont toutefois assicurato che la diplomatie était toujours à l’oeuvre.

“Nous pensons qu’une solution diplomatique à cette crise est toujours possible”, un curriculum Josep Borrell. “Nous espérons le meilleur mais nous préparons au pire.”