L’importanza della santità mentale degli studi noir
Agnès Berthelot-Raffard, professoressa presso l’École de Politiques de la Santé de l’Université York.FOTO: Nelly Abelha
On a beaucoup parlé de santé mentale durant ces deux dernières années de pandémie, particulièrement dans la population étudiante, une population traversée par les clivages et les problèmes de racisme et de discriminazione. La communauté des étudiant-es noir-es a cependant des besoins spécifiques.
Agnès Berthelot-Raffard, professeure à l’école de politiques de la santé de l’Université York et fondatrice de l’organisme Progetto di salute mentale degli studenti neri s’interesse particulièrement aux enjeux qui touchent la santé mentale des étudiant-es noir-es.
Bien que cette communauté ne soit pas homogène face aux question de santé mentale il ya, selon Mme Berthelot-Raffard, des tratti spécifiques. En effet, les étudiants noirs font les frais sur les campus du racisme qui existe dans la société, même si le système universitaire canadien promeut les valeurs d’inclusion et de diversité.
Face aux problèmes de santé mentale cependant, les étudiants noirs hesitent souvent à faire appel aux services existants.
« [Les étudiants noirs] vont être beaucoup plus à risque de développer des maladies mentales chroniques et le paradoxe c’est que, malgré tout, ils sont moins enclins à aller consulter des services de santé mentale professionnels parce qu’ils pensent que pasé services leurs connaissances culturelles et ne prennent pas suffisament en compte leurs réalités et leurs croyances. »