L’inflazione s’envole. Et, avec elle, les craintes pour le pouvoir d’achat des travailleurs… et pour la compétitivité des entreprises. Une quadrature du cercle qui semble, pour l’instant, tout aussi incontournable qu’impossible à gérer.
Par Benoît luglio
Du jamais vu, ou presque. Il faut remonter à mars 1983, soit près de 40 ans dans le temps, pour retrouver une fashion rispetto a celle que nous connaissons aujourd’hui. A savoir une hausse des prix de 8,31 % en mars, mainment liée à la flambée des prix des carburants, y compris le gaz naturel et le mazout de chauffage, mais aussi induite par la hausse des prix des fruits s ou des voiture entre autres.
Et ce, sur fond bien évidemment d’une succession de crisi inédites: la crisi sanitaria, qui a notamment déstructure les flux de production au point d’entraver la reprise économique et de générer de fortes hausses de prix; et la guerre in Ucraina, qui déstabilise les marchés de l’énergie, des matières premières et des produits alimentaires, notamment.
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