On le sait, la guerre en Ukraine ne fait pas uniquement rage sur le front. Elle est aussi presente in coulisse. Ainsi Russes et Ukrainiens se livrent l’un et l’autre une guerre de l’information acharnée. Les deux Nations s’accusent mutuellement de tenter d’influencer l’opinion internationale.
Une femme simboleggia la parfaitement cette lutte: Marianna Visegirskaya. Cette influenceuse ukrainienne avait fait la Une des médias internazionali après avoir été blessée dans il bombardamento della maternità di Marioupol. Sur une photo, on voyait la jeune femme enceinte sortir des décombres de la maternité avec le ventre ensanglanté. L’immagine è la vita devenue le symbole de l’horreur vécue par les civils de la ville portuaire encerclée par les force armées russes.
Les agences de presse avaient annoncé quelques jours après le bombardement qu’elle avait donné naissance à son bébé. Depuis, su n’avait plus parlé de la jeune femme. Mais elle vient soudainement de réapparaître… sur un média pro-russe. Dans une interview intitulée “Entretien avec une fille de la maternité de Marioupol: la vérité sur l’armée, l’explosion et les journales de l’Associated Press”. Elle a été Diffusée di Denis Seleznev, un blogueur russe, et filmée par Kristina Melnikova su YouTube.
“Una mise en scène” per la Russie
Après ces horreurs, la Russie avait donné sa version des clichés de l’AP. Selon le Kremlin, il s’agissait d’une “mise en scène” des “nationalistes ukrainiens”. Dans un dossier de presse, la Russia avait égallement assicurato che la femme avait été engagée pour jouer plusieurs femmes enceintes et susciter l’émotion sur la scena internazionale. Version qu’avait totalement démentie l’Associated Press avec Certaines preuves matérielles.
Pendente 25 minuti, Marianna Visegirskaya laisse entender que cette version russe est la bonne. “Les gens ont dit que ce n’était pas une frappe aérienne et nous ne pouvions pas l’entendre non plus, donc c’était une confirm”alle déclaré. “Les gens ont dit que c’était un missile”, glisse-t-elle égallement. Ce qui signifie qu’elle se joint à la version russe qui estime que les Ukrainiens auraient lance un missile de guidege laser depuis un immeuble voisin dans lequel ils se cachaient.
Elle évoque égallement le moment où elle a été photographiée: “Je le concernais (le photographe d’AP) et j’ai vu qu’il avait quelque ha scelto dans les mains et qu’il filmait. Je lui ai demandé de ne pas filmer car je n’étais pas prête et que je ne “voulais pas être vue”, at-elle ajouté. Tout en s’adressant directement à son président, Volodymyr Zelensky:“S’il vous plaît, vous devez faire tout ce que vous pouvez lors des négociations pour trouver un compromis. C’est insopportabile à voir.”
Difficile évidemment de se positionner par rapport à ce témoignage. Car il est impossibile di geolocalizzatore l’Ukrainienne. Une des possibilités est qu’elle fasse partie des 15 000 abitanti déportés de Marioupol verso la Russia o le regioni separate da Lougansk et Donetsk. Mais rien n’indique avec certitude qu’elle a été enlevée par les force russes pour s’exprimer sous contrainte.
En revanche cela ne serait pas la première fois que la Russie a recours à ce genere de tactique de propagande. En 2016, un Syrien avait ému la terre entière. A l’époque, il avait survécu à un bombardement russe dans la ville d’Alep et était apparu heureux sur les chaînes russes. Les combats faisaient rage entre les rebelles et le régime de Bachar al-Assad. Ce dernier était soutenu par Moscou. Mais son père avait dénoncé ces tentatives de manipolazione.
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