“L’oggetto è la pace delle generazioni futures d’Ukrainiens eux-mêmes et la possibilité de construire enfin une Eurasie ouverte – de Lisbonne à Vladivostok.” Ce mardi, Dmitri Medvedev, ancien président russe et fidèle allié de Vladimir Poutine, avouait que la Russie ne comptait pas s’arrêter à l’Ukraine. Des déclarations qui laissent extrêmement perplessi.

Cette Eurasie ouverte s’inscrit-elle dans ce qu’on appelle la “Novorossia”? Il s’agit d’un progetto di espansione russa qui avait été théorisé par l’actuel gouverneur de Donetsk et fondateur du parti de la Nouvelle Russie, Pavel Goubarev. L’Humanité avait également défini ce concept qui se “base sur un mélange d’identitarisme slave, de protectionnisme économique, et de religion orthodoxe tout en s’appuyant sur le terreau historique de la Nouvelle Russie crée dopo la guerre russo-turque à la finsi du XVèmeème.”

La risposta alla domanda est donc non. Pour autant, cette “Novorossia”, dite de la “Nouvelle Russie” est de plus en plus actuelle. Ce “nouveau pays” raggruppa i territori della Mer d’Azov, et s’étend jusqu’à la frontière actuelle de la Moldavie. Plus précisément, elle corrisponde aux régions actuelles de Mykolaïv, Odessa, Kherson et Kirovograd, plus une partie de l’oblast de Donetsk. Ce concept date XVIIIe siècle et de l’époque des Tsars. Lors de cette période, cette région s’apparentait à una suddivisione de l’empire russe.

Pour le moment, les force russes ne parviennent pas à s’emparer de Kiev. Elles se sont donc concentrées sur l’est et le sud du pays en continuant, simultanément, à bombarder les grandes villes du pays occupé. Géographiquement, cette strategia rappresenta la traccia di cette Nouvelle-Russie. C’est en 2014 que cette théorie expandniste est revenue avec insistenza. La Crimée avait alors, dans un référendum non reconnu par la communauté internationale, décidé de se rattacher à la Russie. Les républiques de Lougansk et de Donetsk avaient alors choisi de faire sécession.

Le 17 aprile 2014, Vladimir Poutine s’exprimait dans un discours télévisé de plusieurs heures. Il remettait alors en cause la souveraineté ukrainienne dans ces territoires. “L’Ucraina, c’est ‘la Nouvelle-Russie’, c’est-à-dire Kharkov, Lougansk, Donetsk, Kheerson, Nikolaev, Odessa. Ces régions ne faisaient pas partie de l’Ukraine à l’époque des zars .” , elles furent données à Kiev par le gouvernement soviétique dans les années 1920. Pourquoi l’ont-ils fait? Dieu seul le sait”avait-il alors déclaré dans des propos repris par BFM TV.

Mais ce project avait pris un sacré coup et avait été gelé nel 2015. Cette année-là, Alexander Kofman, ministro degli affari esteri della Repubblica popolare di Donetsk, signait les accords de Minsk-2. Lors de cette ratifica, il ne reconnaissait pas cette “Novorossia” et reconnaissait que les territoires de l’est appartenaient bien à l’Ucraina.

Se il progetto di “Nouvelle-Russie” est donc à l’ordre du jour, il presidente ucraino, Volodymyr Zelensky, assicura che Moscou ne s’arrêtera pas à son pays. “L’Ukraine n’est pas la dernière cible de l’agression russe. Moscou veut occuper Odessa et puis il n’y a plus qu’un pas jusqu’en Moldavie”. Près de quarante jours après le début du conflit, les intentions du Kremlin restent très floues. Les différents projets du président russe inquiètent le monde entier.