Travail au noir, petits boulots non déclarés, Transactions entre particuliers, l’argent passe de main en main sans que cela ne se sache forcement. Un manque à gagner pour les Etats et une manière pour des économies illicites de fonctionner.
L’euro numérique, dont les transaction pourraient être centralsées auprès de la BCE, pourrait-il mettre fin à ce type de marché ? Analizzare.
Vers la fin des jardiniers du dimanche ?
Il n’est pas rare pour certes d’avoir affare aux services de particuliers pour réaliser de petits travaux. Jardiniers, peintre, mécanicien, des métiers dont les petits boulots peuvent être réalisés sans forcement être déclarés. En Belgique, il n’existe aucune limite pour un paiement en espèce entre particuliers dans le cadre de biens et services.
Neanmoins, si l’on en arrive à un euro entièrement numérique (et donc à la fin de l’argent papier, qui n’est actuellement pas dans les plans de l’Europe), ces petits boulots pourraient bien être touchés.
Versare Etienne de Callataÿ, economista et Co-fondatore d’Orcadia Asset Management : “L’euro numérique n’éradiquera pas les petits boulots au noir mais cela les rendra plus difficilisUn avis que partage son confrère Bruno Colmant, economista e professeur à l’ULB et l’UCLouvain: “Tant que l’Euro numérique n’est pas généralisé, cette économie devrait continuer d’exister“, révèle-t-il.
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