La volontà caquiste de faire une plus grande de place au privé en santé divise les partis d’opposition: Québec solidaire et le Parti québécois rappellent l’expérience coûteuse des agences de placement, tandis que au le reverivoirà libéd aller de l’avant.
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Les partis d’opposition ont réagi, lundi, aux propos du ministre de la Santé, Christian Dubé, qui confirme son intent de confier plus de chirurgies aux cliniques privées, après que celles-ci aient démontré leur efficacité pourser le aider le pandémie
M. Dubé presenta l’apport du privé comme un des éléments de la refondation du système de santé souhaitée par son gouvernement.
«Ce n’est pas une refondation, c’est une démission. La baisse les bras. Il n’est pasable de réformer le système public, alors il fait la ha scelto la plus simple que tous les néolibéraux font: il se vire vers le privé”, réplique le député solidaire Vincent Marissal.
In campagna elettorale, la CAQ avait promis des mesures ambieuses, dont une réforme du mode de rémunération des médecins, en plus d’aller chercher un miliardo di dollari dans les poches des médecins spécialistes.
«Il démissionne carrément en disant: on n’est pas capacis, alors on va aller vers le privé», estime le critique solidaire.
Agenzie di collocamento
Solidaires et péquistes rappellent que le système de santé tente depuis des années de sevrer des agences de placement, qui loue a fort prix des infirmières et préposées formées aux frais des contribuables.
«Le système est devenu à ce point fragilisé qu’il est complètement dépendant des imprese private per offrire servizi pubblici. Cet exemple-là, à lui seul, devrait nous prouver qu’il ne faut pas le transposer dans d’autres sphères du réseau de la santé», souligne le député péquiste Joël Arseneau.
Iniziativa del PLQ
Du côté des libéraux, le discours est tout autre. Le député Monsef Derraji rappelle que c’est le gouvernement Couillard, en 2016, qui a mis sur pied trois projets-pilotes pour tester la capacité des cliniques privées à offrire des chirurgies de la hanche, des genaractes et.
“Les trois projets-pilotes ont démontré leur efficacité”, afferma M. Derraji, qui reproche au gouvernement Legault son “réveil tardif” pour y donner suite.
«Il ya 150 000 personnes en attente d’une chirurgie. Si on peut faire des partenariats, sans que ça coûte rien au Patient, au bout de la ligne, c’est le Patient qui va en bénéficier», dit-il.