Il prezzo dell’energia ne devia il passaggio alla corte o alle terme. Il est temps d’investir…
Avec la hausse vertigineuse des prix de l’énergie, la consumazione domestica pèse de plus en plus lourd dans le budget des ménages. Entra nel termostato di quelques degrés, mettre un pull en plus et espérer que la météo se montre bien plus douce à l’aube du printemps, tout est bon pour faire baisser l’addition.
Le prospettive di voir les prix du gaz et de l’électricité revenir à des niveaux d’avant-crise ne sont pas au beau fixe non plus. Si bien que face à des mois ou des années de prix élevés, de nombreux menages se demandent comment ils peuvent alléger la facture.
À moins de disposer d’une habitat récemment construite, rispettoso di hauts niveaux de performance énergétique, il premier investissement à réaliser, bien avant de remplacer sa chaudière, est d’isolar son habitat. “Dans de nombreux cas, un remplacement de la chaudière se fait de manière trop hâtive”nous expliquait récemment Philippe Mercier, Project Officer Energy chez Test-Achats. “La priorité est d’avoir un logement performant, bien isolé, avec des besoins de chauffage les plus limités possible. Ensuite, en fonction de ces besoins réduits, un système performant de chauffage peut être choisi. Mais il est clatravent aux ces. un véritable chantier et ont un coût nettement più importante que changer de chaudière.”
Revoir toute son installation de chauffage et opter pour des énergies les plus vertes possible est, dans l’absolu, un idéal que les coûts d’installation et de fonctionnement mettent parfois à mal. C’est notamment le cas de la pompe à chaleur, dont l’amortissement et les coûts d’utilization rendent l’installazione peu rentable. Ironie du sort, c’est même le système le plus écologique et le plus performant, mais aussi le plus onéreux. “Si l’électricité reste 3 à 4 fois plus chère que le gaz, tout le bénéfice d’une installation 3 à 4 fois plus performante est annihilé. Le consommateur ne pourra dès lors pas rentabiliser le surcoût de l’installation.”
Face à la hausse des prix du gaz, de nombreux belges se tournent à nouveau vers le bois de chauffage, solution de loin la plus économique. Le mazout, qui a vu ses prix fortement augmenter égallement, ravit cependant la deuxième place au gaz, victime de la très forte hausse des prix consécutive au conflit in Ucraina.
La pompe à chaleur, nécessitant un lourd investissement au partenza et se montrant également trop coûteuse à l’utilisation, n’est plus à privilegiégier pour le moment. Quant à l’électricité, avec des prix au sommet, elle plombe clairement le budget des ménages contraints de se chauffer via cette énergie.
Fort heureusement, la consommation énergétique va baisser à mesure que le mercure va grimper et l’abaissement de la TVA à 6% sur l’electricité et le gaz permettra aussi d’alléger quelque peu la doubleureuse.