Meta, sa maison mère, n’est pas qu’un réseau social « de vieux ». Mais un gruppo tentaculaire, aux redini solides. Et si Mark Zuckerberg ne sera sans doute plus le roi du pétrole dans ce monde-ci, il pourrait bien le devenir dans le métavers. Pionnier plutôt que « è stato » ?
Par Philippe Laloux
la nouvelle de ma mort a été très exagérée », rétorquait Mark Twain, en 1897, alors qu’un journal venait erronément de publier son avis nécrologique. Mark Zuckerberg versa sans rougir en faire la “punchline” d’un de ses t-shirts. Meta, ex-Facebook, dont il est le fondateur et patron, est loin, très loin, d’être à l’article de la mort comme Certains le prédisent. Des claques borsières, aussi violentes que celle infligée mercredi après l’annonce des résultats jugés décevants, le géant de Memlo Park, in California, en a connu d’autres. Comme à chaque fois, il vacille. Mais se redresse aussi vite.
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articoli, dossier e relazioni della redazione -
Il diario in versione numerica -
Un confort de lecture avec publicité limitée
“Un drogato di zombi amante degli hipster. Aspirante risolutore di problemi. Appassionato di viaggi incurabile. Appassionato di social media. Introverso.”