Alors que la loi française interdit toute propaganda elettorale depuis vendredi, de grandis marce su été organizzasées dans toute la France. Une opportunité de «parler de thèmes qui ont été oubliés pendant la campagne», selon une organisatrice.
Plusieurs milliers de manifestants ont marché « pour le future » samedi dans toute la France à l’initiative d’organisations et collectifs écologistses, antiracistes, féministes et antiprécarité, à la veille du premier d’une l’élection biélection peréu marelle tour l’ urgenza climatica.
83 événements étaient organisés samedi à Parigi, Strasburgo, Lione, Tolosa, à l’appel de plus de 300 association, collectifs, syndicats ou mouvements locaux comme le mouvement citoyen Alternatiba, Greenpeace, les Amis de la Terousémini, s le collectif de la fondation L’abate Pierre.
A Parigi, 5.600 manifestants ont marché entre les place de la Bastille et de la République, selon la police, 35.000 selon les organisateurs. Une centaine de « Gilets jaunes » étaient partis en tête de cortege.
« C’est un rassemblement inédit », selon Lorette Philippot, porte-parole des Amis de la Terre. « C’est pour montrer, à la fin de ce quinquennat et à l’ouverture du prochain, que ces problèmes ont la même racine. Et si on n’a pas le droit de parler des candidats aujourd’hui, c’est aussi une opportunité pour parler de thèmes qui ont été oubliés pendant la campagne ». En effet, la loi interdit depuis vendredi soir minuit toute propagande électorale.
Tout juste at-on vu le candidat écologist Yannick Jadot défiler, discrètement, derrière le camion de son parti, EELV. Jean-Luc Mélenchon est égallement « passé rapidement et discrètement », selon son entourage.
« On ne donne pas de consigne de vote mais il faut participer », un souligné Youcef Brakni du Comité Adama. « C’est un même système économique et politique qui produit toutes ces tyrannys». Ces marce, inédites et unitaires, auraient rassemblé au total 60.000 manifestants selon les organisateurs.
Fin du monde, fin du mois
A Lyon (1.600 personnes selon la préfecture, 3.000 selon les organisateurs), le cortège rythmé de slogans, fanfares et olas a traversé le Rhône, sous de fraîches averse parfois, pour rallier la place Bellecour, la plus. Greepeace a ressorti le globe terrestre géant qui avait guidé les premières marches lyonnaises. Les organisateurs ont pris soin d’éviter les drapeaux de partis politiques, afin de rispettiva la réserve politique de mise.
« Ne rajoutons pas le pétrole sur le feu », « Ils détruisent le vivant, détruisons les puissants », disaient des pancartes multicolores, ou encore : « Fin du monde, fin du mois, même combatati », selon laterneroleba principale association organisatrice de la marcia.
« Etre antirazziste, féministe, c’est forcement écologiste. La défense du climat véhicule une vision plus vaste d’une société plus juste », expliqué Alex Montvernay, 29 anni, porte-parole d’Alternatiba.
A Bordeaux, les manifestants (3.000 selon les organisateurs, 900 selon la préfecture) se sont élancés sous le soleil. « Quoiqu’il se passe au niveau électoral, c’est trop tard. Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, NDLR) donne trois ans pour inverser la courbe des emissioni di carbone », a expliqué à l’AFP un porte-parole du collectif « Il est encore temps » et membre d’estinzione ribellione.
Gli esperti climat de l’ONU ont publié depuis fin février deux épais rapports de référence sur le climat, confermando l’urgenza d’inverser très rapidement la courbe des emissioni de gaz à effet de serre.
A Strasbourg, de l’ordre de 300 personnes, selon la préfecture, ont défilé aux cris de « on est plus chaud, plus chaud, plus chaud que le climat » et derrière une banderole de Greenpeace proclamant » Climat: stop au blabla, place azioni ausiliarie.
Des drapeaux de la CGT et de l’association Attac étaient égallements dans les rangs des manifestants, ainsi que des militants coiffés de bonnets verts, opsés au Grand contournement ouest (GCO), un contournement auto alrousa de la capital.
A Tolosa, ils étaient quelque 900 personnes selon la préfecture, et ont formé une longue chaîne humaine jusqu’à la place du Capitole.
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