Qui Emmanuel Macron va-t-il désigner comme remplaçant de Jean Castex, actuel Premier ministre? Celui-ci avait annoncé le 19 avril que lui et ses collègues démissionneraient “dans les jours qui suivent” l’élection du nouveau président. La date de jeudi 28 ou de vendredi 29 circule. En attendant, voici un tour d’horizon des différents noms évoqués ces derniers jours par le président et son cercle.
Una prima?
Le nom d’une femme en particulier circule: celui d’Elizabeth Borne, ministre des Transports puis du Travail lors du premier quinquennat de Macron. Interrogée par France Inter, elle a déclar : “Moi ça fait 5 ans que j’accompagne Emmanuel Macron, je suis à sa disposition, il le sait”.
“Emmanuel Macron a le souhait bien sûr d’une nomination féminine à Matignon. Mais il ne faut pas résumer l’ensemble de la situation politique au poste de Premier ministre”precisamente Clément Beaune, segreto di Stato per affari europei, ce lundi matin sur BFMTV.
Déjà en 2017, Emmanuel Macron “souhaitait” nommer une femme à ce poste: “J’en ai parlé à d’autres, à beginr par des hommes, et c’est plutôt mon souhait”avait-il déclaré. “Après, avait-il précisé, je ne vais pas choisir un Premier ministre parce que c’est une femme. Je choisirai le premier ministre le plus compétent, le plus in grado, avec le souhait et la volonté aussi que soune “. Il avait finalement nommé le député et maire du Havre Edouard Philippe.
O un premier
Julien Denormandie, attuale ministro dell’Agricoltura e dell’Alimentazione e del presidente francese, è il primo ministro francese. Cet ancien ingénieur en sciences et industries du vivant et de l’environnement form à Agrotech Paris aurait pu être le directeur de la campagne 2022 d’Emmanuel Macron si la guerre in Ucraina n’avait pas éclaté, mettant en hardé les agriculturope . C’est un cooperaur très proche du président, souvent surnommé par la presse le “Macron bis”, le “Macron boy” o le “bébé Macron”.
D’autres noms circuleraient en coulisse, dont Richard Ferrand (ancien élu du Parti socialiste), Gérard Darmanin (ministre de l’Intérieur) et Alexis Kohler (secrétaire général).