Il ne s’agissait donc pas d’un nom de code puisqu’elle s’appellera bien BZ4x cette première Toyota 100% électrique. BZ pour “Beyond Zéro”, qui significa “au-delà de zéro emissions”, le “x” pour les carrosseries crossover, et au milieu un 4 indiquant son ordre dans la gamme. Car oui il y aura bien une vaste gamme électrique en plus des hybrides chez le géant japonais. Akio Toyoda, il patron du groupe l’a confirmé mi-décembre dernier lors d’une conférence au cours de laquelle il annoncés 7 modelli Toyota emissioni zero, tous rassemblés sous cette nouvelle sous-marque BZ dédiée aux électriques.
Même si elle ne sera livrée aux premiers clients qu’en juin, Toyota nous a déjà confié le volant de cette zero emission pour une première price en main. Alors que ses lignes définitives ont déjà été révélées, notre exemplaire arbore encore ses peintures de guerre, lesquelles le font d’ailleurs paraître plus sage de ligne en camouflant sousoo de passage les coiruleur encores 4 . Vu comme ça, son profil apparaît presque sage, seuls les feux arrière à trois branch allongées, reliées par un bandeau sur le hayon, lui donnent un peu d’originalité. Sulla nota giusta les porte-à-faux très réduits, de cette nouvelle plateforme eTNGA dédiée aux électriques du groupe (mais aussi à la Subaru Soleterra), et l’empattement généreux de 2,85 m pour une longueur de 4,69 m (2,69 m pour 4,60 m de long sur un RAV4), ce qui permet de loger la grosse batterie de 71,4 kWh dans le plancher.
Habitabilité et coffre généreux
Grâce à ce bel empattement, la place aux jambes est très généreuse derrière, et in nota avec plaisir que le coffre, même dans notre variante 4WD dotée d’un moteur électrique supplémentaire sous le plancher, offre quasiment les mêmes côtes que celui, déjàe, du RAV vast4. Aux place avant, su retrouve une planche de bord assez classique, dotée d’un large écran tactile central de 12 p. in formato au paysagelequel se prolonge vers une imposante et très haute console centrale accueillant de très grands rangements. Toyota a heureusement conservé des commandes physiques pour la climatisation, mais opté pour une originalté façon Peugeot pour ses compteurs numériques positionnés…au-dessus du volant. Lequel doit donc être baissé au maximum pour lire les informations, d’autant que son diamètre est un peu plus grand que chez le Français.
Una direzione “by wire” en 2023
Un bemol qui n’en sera plus un avec l’arrivée, en 2023 d’une option direction “by wire” sans liaison entre le volant et les roues, Capable de braquer de butée à butée en viron 150°, soit moins d’un demi-tour, et doté d’un demi-volant façon Formule 1. En attendant cette innovation que l’on verra en premier chez Lexus en deuxième party d’année, notre BZ4x utilizza toujours une direction classique offrant assez de consistentance en ville et un bon centrage sur autoroute. Dommage qu’elle manque un peu de ressenti aux allures routières o le châssis de cette électrique fait preuve, come souvent chez Toyota, d’un équilibre sage sur les rotte sinueuses. Sicuramente, avec ses 2005 kg, dont 480 kg de batterie, il faudra rester méfiant sur chaussée glissante, mais sur route sèche on ne ressent pas trop cette masse…hormis à l’accélération.
Lourde, mais suffisamment performante
Auto contrairement à beaucoup d’électriques, Toyota n’a pas voulu un brio ébouriffant. Les performance sont bonnes, y compris pour dépasser en toute sécurité, mais il n’y a rien d’inutile avec ses deux moteurs à aimants permanents affichant 218 ch et 336 Nm cumulés (204 che et 265 Nm per la variante trazione di 1 920 kg). ragionevole, ce BZ4x soigne aussi son confort avec une bonne isolation des bruits d’air, ainsi que des suspensions esenta des trépidations sur les petits défauts de la chaussée, et capaci d’absorber les gros. Mais entre les deux on note toutefois sur route quelques rebonds sensibles sur les sièges. Et puis si ce Toyota n’adopte pas la fonction “One Pedal” permanente d’aller jusque l’arrêt sans toucher à la pédale de gauche, la gestion de son freinage “by wire” est en gros progrès par rapport aux hybrides de la marque. In nota certis encore un petit temps de reaction désagréable à l’enfoncement et lors du relâchement de la pédale de gauche, mais pour le reste sa réponse est linéaire, donc assez rassurante.
Une autonomie un peu décevante
Demeure una domanda de l’autonomie, annoncée à 410 km WLTP pour cette 4WD (450 km in trazione). Des chiffres qui nous semblent bien optimistes même si nos route d’essai vallonnées à l’est de Barcelone ne favorisent pass les records. Car malgré la présence en série d’une performante pompe à chaleur pour le chauffage, l’ordinateur de bord annonçait en moyenne autour de 28 kWh/100 km, e l’ambiente 35 kWh/100 km sur autostrada. Cela parait beaucoup tandis que les ingénieurs japonais alertaient sur l’affichage non représentatif de cette présérie … Mais à l’issue de ce 1er contact, l’autonomie dépassait à peine les 250 km. A vérifier donc sur nos basi d’essai cet été. Le BZ4x sera équipé de série d’un chargeur embarqué de 6,6 kW (11 kW triphasé plus tard), et Acceptera 150 kW sur borne rapide tout en étant fourni avec una carta di ricarica universale, compatibile Ionity mais sans tarif préférentiel. Un toit solaire en option permettra de récupérer jusqu’à 1 800 km d’autonomie par an, tandis que la batterie sera garantie 10 ans ou, grande première, 1 000 000 km pour une capacité minimale de 70 %, à la condition d’une visite annuelle chez le concessionnaire.
Les tarifs devraient beginr juste sous les 45 000 €, mais Toyota privilegia les formules de location debuttante a 399 €/mois – sur 36 mois et pour 30 000 km maxi – après un premier loyer de 13 450 € (avant bonus et aids).
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