Les trois astronauts ont passé six mois sur la station spaziale cinese, avec laquelle la Chine espère bien développer son program spazial et rattraper l’Europe, les États-Unis et la Russie.
C’est le plus long séjour jamais effectué par la China dans lo spazio: les trois astronauts de la mission Shenzhou-13 sont revenus sur Terre samedi dopo sei mois passés dans la station spaziale cinese.
Il s’agit d’une nouvelle étape réussie pour Pékin dans son ambieux program space destiné à rattraper les États-Unis, l’Europe et la Russie. Après avoir déclenché son parachute rouge et blanc, la capsule de retour où avait pris place l’équipage – composé d’une femme et de deux hommes – a attterri peu avant 10h00 (02h00 GMT) dans le dédésertérie la China). «La capsule de retour de Shenzhou-13 atterri avec succès», una denuncia della televisione di Stato CCTV. Le immagini in diretta della CCTV non montré l’atterrissage de la capsule dans un nuage de poussière. Les équipes au sol, qui s’étaient tenues à l’écart du site d’atterrissage, se sont precipitées en hélicoptère pour atteindre la capsule.
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L’équipe au sol an applaudi les astronautes qui ont déclaré à tour de rôle se sentir «bien». L’équipage était composé de trois pilotes de l’armée: il comandante Zhai Zhigang (55 ans), sa collègue Wang Yaping (42 ans) – devenue la première Chinoise à effectuer une sortie dans l’espace en novembre – et le benjamin Guangfu (41 ans), non c’était le premier vol spazial. Zhai Zhigang est sorti le premier de la capsule, environ 45 minuti dopo l’atterrissage.
L’ancien pilote de chase, qui a effectué la première sortie chinoise dans l’espace en 2008, a salué les caméras, souriant, alors qu’il était hissé par l’équipe au sol, avant d’être emmitouflé uverture une dans. «Je suis fier de notre pays héroïque», al segnale di telecamere a circuito chiuso. Avec 183 jours dans l’espace, l’équipage pulvérise le précédent record national pour un soggiorno space, qui était de 92 jours et avait été établi en 2021 lors de la précédente mission habitée, Shenzhou-12.
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«Le but (avec Shenzhou-13) n’était pas en soi d’établir un record mais de développer les aptitudes nécessaires à une occupation permanente de la station»l’objectif final de la Chine, un relevé Jonathan McDowell, astronomo al Center Harvard-Smithsonian pour l’astrophysique, aux États-Unis.
Nommée en chinois Tiangong («Palazzo Celeste») mais égallement connue par son acronimo inglese CSS (pour «Stazione spaziale cinese» en français), elle devrait être achevée d’ici fin 2022. Semblable en taille à l’ancienne station russo-soviétique Mir, sa durée de vie doit être d’une quinzaine d’années.
Luogo “di classe mondiale»
En six mois, l’équipage a effectué deux sorties dans l’espace, poursuivi la construction de la station, anime deux cours via internet per les écoliers chinois, réalisé des expériences et affine sa maîtrise des séjours longue durée. «Ils ont par exemple amélioré leurs aptitudes en matière de maintenance, via des sorties dans l’espace et des handlings du bras robotique» de la station, a détaille à l’AFP Chen Lan, analista del sito GoTaikonauts.com, speciale nel programma, cinese spaziale.
Shenzhou-13 n’était «pas une percée significativo” mais “l’achèvement de la CSS dans le courant de l’année constituera par contre un événement très importante», at-il souligné. Prochaines étapes de la construction: l’envoi d’un vaisseau cargo en mai puis d’une autre mission habitée, Shenzhou-14, qui devrait être lancée en juin.
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I moduli di deux derniers della stazione spaziale devono essere inviati a partir de juillet. Ils prendront la direction de l’espace depuis le centre de lancement de Wenchang, situé sur l’île tropicale de Hainan (sud) e non il presidente cinese Xi Jinping a déclaré jeudi vouloir en faire un site «di classe mondiale». A partire da Shenzhou-14, la CSS deve essere occupata in permanenza.
La Chine investit depuis quelques décennies des miliardi di euro dans son program spazial, et a envoyé son premier astronaute dans l’espace en 2003. Elle a posé début 2019 un engin sur la face cachée de la Lune, une première mondiale. En 2020, elle a rapporté des échantillons de Lune et finalisé Beidou, son système de navigation par satellite, concurrent du GPS américain. En 2021, elle a fait atterrir un petit robot sur Mars et prévoit d’envoyer des hommes sur la Lune à l’horizon 2030. La Cina è stata esclusa dalla stazione spaziale internazionale depuis 2011, lorsque les États-Unis ont interdit à la Nasa de s’engager avec le pays asiatique.