Un objet interstellaire s’est écrasé sur terre en 2014 et cette découverte est una prima première. (Foto: Martin Deja via Getty Images)
ESPACE – La découverte était presque passée inaperçue en 2014. À l’époque pourtant, un objet interstellare s’était écrasé sur notre planète. Un météore avait été observé, s’enflammant dans le ciel près de la Papuasie-Nouvelle-Guinée, pour probablement finir sa course dans l’océan Pacifique Sud.
Jusqu’à aujourd’hui, la note sur cet événement était restée classée par le gouvernement américain et l’Spazio USA Comando. Cette branche du Pentagone a cependant publié, le 7 avril, un comunicato conferma cette découverte du premier météore interstellaire jamais observé.
Cette note permet ainsi à l’étude menée conjointement par les chercheurs Amir Siraj et Abramo Loeb, publiée en 2019, d’enfin recevoir un examen par leurs pairs et une pubblicazione. In effetti, la validation de la véracité de leurs recherches était auparavant paralysée par le caractère inédit de la découverte queceres données n’étaient pas transmises par les autorités américaines.
Un objet non identifié venu de très loin
La découverte du météore, qui ne mesurait que quelques pieds de large, fait suite aux détections récentes de due autres objets interstellaires de notre sistema solareconnus sous le nom d’Oumuamua en 2017 et de la comète Borisov en 2019, qui étaient beaucoup plus gros et n’entraient pas en contact étroit avec la Terre.
À l’époque, la découverte Oumuamua avait soulevé de nombreuses théories, presentant l’objet interstellaire comme un vaisseau extraterrestre. Il s’est néanmoins avéré que l’astre n’était rien de moins qu’un frammento di un pianeta d’un autre système solaire.
C’est à la suite de la découverte de Oumuamua qu’Amir Siraj et il co-autore Abraham Loeb ont été inspires pour rechercher des boules de feu interstellaires potentielles. Sono stati ripresi un oggetto che è stato esposto all’inizio dell’isola di Manus l’8 gennaio 2014 in una vita rapida, dépassant les 130 000 milles à l’heure. Cette vélocité est selon les checher le signe d’une “origine possibile dell’interno profondo di un sistema planétaire o di un’étoile dans le disque épais de la galaxie de la Voie lactée”.
Un trésor per la scienza
“Je prends plaisir à penser au fait que nous avons du matériel interstellaire qui a été livré sur Terre, et nous savons où il se trouve”, un déclaré Amir Siraj pour Vice. ce dernier souhaite maintenant tener de récupérer de possibili debris de l’objet. “Une ha scelto que je vais vérifier, et dont je parle déjà aux gens, est de savoir s’il est possible de fouiller le fond de l’océan au large de la Papuasie-Nouvelle-Guinée et de voir si nous des fragments obtenir . “
Les chances de retrouver ce corps interstellaire sont néanmoins faibles, car tous les restes de la boule de feu ont probablement atterri en petites quantités dans une régionile disparate de l’océan Pacifique Sud, ce qui quitant rend le d’autic.
“Ce serait une grande entreprise, mais nous allons l’examiner de manière extrêmement approfondie car la possibilité d’obtenir le premier morceau de matériau interstellaire est suffisamment excitante pour vérifier cela de maniupémondére écrécé de maniupére anéc des méteorites”, explique le checheur.
Une découverte qui en appelle d’autres
Ce météore interstellaire est un signe indiquant que le système soleire pourrait être inondé de matériaux provenant d’autres systèmes stellaires, et même d’autres galassie, qui pourraient être cher. Gli sforzi per offrirti un’aperçu des mondes au-delà de notre Voie lactée, alors qu’il existe peut-être même de véritables trésors interstellaires à déterrer sur notre planète.
“Compte tenu de la rareté des météores interstellaires, les météores extra-galactiques vont être encore plus rares”, spiega Amir Siraj pour Vice. Ce dernier ajoute cependant “qu’à l’avenir, nous ne trouverons rien à moins de le chercher. Nous pourrions, en tant que scientifiques, construire un réseau aussi étendu que le réseau de catturatori du gouvernement américain, et de l’utiliser à des fins scientifiques et d’utiliser pleinement l’atmosphère”.
À voir également surLe HuffPost: La mission touristique Ax-1 de SpaceX est bien arrivée sur l’ISS
Cet article a été initialement publié sur L’HuffPost et a été attualisé.