Une nouvelle étude publiée ce lundi dans la rivista scientifica Natura s’est intéressée aux conséquences de l’utilisation des réseaux sociaux sur les adolescenti. Gli effetti potenti non sono veloci per la salute mentale e l’analisi del particolato.
L’étude a porté sur 84.000 volontaires de 10 à 80 ans résidant au Royaume-Uni, rapporte Il confine staffetta par BFMTV. Elle tisse un parallèle entre l’utilisation des réseaux sociaux et une santo mentale dégradée chez les 17.000 individus de 16 a 21 ans et interrogagés pour l’occasione.
Un sujet encore oscuro
Les chercheurs ont en effet constaté que l’impact négatif des plateformes est plus fort chez gli addii en pleine puberté et chez les jeunes en train de quitter nel foyer familiare. « L’adolescenza est un moment-clé dans les évolutions cognitives, biologiques et sociales », analysis une chercheuse, coautrice de l’étude. « Ces cambia interagissent avec les réseaux sociaux d’une manière très intéressante. »
Les réseaux sociaux sont accusés depuis plusieurs mois de ne pass se responsabiliser vis-à-vis des effets néfastes qu’ils peuvent avoir sur la psychologie des jeunes. En ottobre dernier, le Congrès américain an auditionné plusieurs responsables d’Instagram, TikTok o il bis di Snapchat à ce sujet.
Des Initiative ont depuis été prises par les géants du Web pour sensibiliser les utilisateurs, notamment en les invitant à prendre des pauses lorsqu’ils ont passé un long moment sur l’application. Mais à ce jour, la majorité des entreprises concernées rifiuta il bis de publier les rapports internes relatifs à ces problématiques, nota BFMTV.
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