Invita i venditori a vendere i carburanti, così come i produttori non hanno problemi, più quelli che ne hanno bisogno, i ministri dell’economia e dell’energia, e le ripetizioni della soluzione. Mais l’urgence serait moindre, les prix du pétrole ayant reflué.
Par Benoît luglio
Coincés entre la hausse rapide du prix d’achat des carburants et l’impossibilité de répercuter la totalità delle cellule-ci dans leurs prix de vente au consommateur, de nombreux « pompistes » boivent la tasse. Certi, contraints de vendre à perte, ont préféré baisser le rideau. Una situazione totale inédite, qui un condotto les ministres de l’Energie, de l’Economie et les représentants du secteur à tenter de dégager una soluzione.
En réunion ce jeudi, puis ce vendredi, ils ne sont pas encore parvenus à la trouver, ayant convenu de se revoir la semaine prochaine. Selon le cabinet du ministre de l’Economie Pierre-Yves Dermagne, cependant, l’urgence serait passée: « lo spettro dei ventes à perte, qui peuvent aussi mener à des ruptures d’approvisionnement, s’est éloigné. »
Et ce, en raison du tout récent reflux des prix du pétrole sur les marchés internationaux. Le cours du baril de Brent, le pétrole de la mer du Nord qui sert de référence sur nos marchés, s’est replié par rapport à son sommet de jeudi, a 139 dollari, pour en revenir aux alentours de 112 dollars à l’heure de boucler cet articolo, soit une baisse de l’ordre de 20%.
« Le facteur d’attenuation (prévu dans le contrat-programme, qui permet de lisser les prix tant à la hausse qu’à la baisse, NDLR) s’est déclenché entre le 4 et le 10 mars, et a permis effectment d atténuer les très fortes augmentations des prix à la pompe tout en obligeant les distribuurs à vendre à perte », poursuit-on au cabinet. « Il n’est désormais plus actif car les prix du pétrole ont chuté. »
Quid de l’avenir, si une nouvelle envolée devait se produire ? Une mission a été confiée au SPF Economie visant à mieux caliber ce fameux facteur d’atténation en cas de fortis hausses sur le marché, afin donc de «rechercher unae solution pérenne pour mettre le consommateur à l’abri toutre distributing éviteant à perte. »
Du coté de la fédération des négociants en combustibles et carburants (Brafco), qui n’était pas à la table des négociations, on n’était pas disponible, ce vendridi soir, pour réagir tant au constat de la fin qu de l’urgence ‘à la volonté de rechercher, la semaine prochaine, une solution visant à éviter la répétition de ces fortes tensions.