Impuissante collettivo, la Juventus n’a pu faire mieux qu’un match nul plutôt morose, face à une formation de Villarreal limitée, mais joueuse et récompensato (1-1).
Villarreal-Juventus 1-1
Ma: Parejo (66e) per Villarreal // Vlahović (1Rif) per la Juve
Un jour, il paraît qu’Albert Einstein s’est fendu de cette citation, entre deux équations : « La folie, c’est de faire toujours la même ha scelto et de s’attendre à un résultat différent. » Su n’irait pas jusqu’à qualificatore Massimiliano Allegri de téré. Encore moins d’excentrique. Pourtant, l’entraîneur de la Juventus fait peu ou prou toujours jouer aux siens le même football, mois après mois. Un football fait de blocs bas chagrins et d’attentisme triste. Rasoir, comme ce match délivré par les Piémontais ce mardi, logiquement tenus en échec par Villarreal en Espagne.
L’Odeur Dusan
Dušan Vlahović aura donc attendu 32 seconds pour marquer son premier bu en Ligue des champions, pour ses débuts dans la competizione. Servi dans l’espace, le nouveau numéro 7 piémontais cale un amour de frappe croisée en deux défenseurs, qui laisse Rulli parfaitement impuissant. Voilà qui suffit manifestement à la Vieille Dame : les Juventini se planquent ensuite en coulisses, laissant Villarreal monopoliser la scène et la possession. C’est désormais au tour du Sous-Marin jaune d’enflammer les plansches. Lo Celso, servi par Pedraza, touche l’équerre de Szczęsny d’un tir dans la surface, alors que Chukwueze fait des misères à De Sciglio sur son côté droit. Protagonisti, les Groguets Se heurtent néanmoins à une Vieille Dame positionnée bloc bas et surtout a Dušan Vlahović, veneneux à chacune de ses prises de balle. C’est peu, mais ça suffit aux Bianconeriqui gardent une unité d’avance à la pause.
Un p’tit jaune et au lit
Un cran plus haut en début de second acte, la Juve ha incontrato vaguement plus d’intensité et d’intentions devant, sans jamais donner l’impression de vouloir vraiment mettre les gazment offensive. Villarreal cafouille à peu près autant son football, mais va tout de même pouvoir punir l’affligeant minimalisme piémontais. Bien aidé par une énorme errore di posizionamento di De Ligt, Parejo peut ajuster Szczęsny les mains dans les poches, d’une volée placée dans les 16 mètres. La Juve en perd ses moyens, se fait toute rikiki derrière et finit senza sorpresa la partita e se bunkérisant dans sa moitié de terrain. Un dénouement tout sauf funky, alors que les deux équipes se retrouveront dos à dos pour la partita ritorna a Torino, le 16 mars prochain.
Villarreal (4-4-2): Rulli – Foyth, Albiol, Pau Torres, Pedraza (Estupinan, 79)e) – Chukwueze (Pino, 90e), Capoue, Parejo, A. Moreno (Trigueros, 78e) – Lo Celso, Danjuma (Dia, 90e). Entraneur: Unai Emery.
Juventus (4-4-2): Szczęsny – Danilo, De Ligt, Alex Sandro (Bonucci, 46e), De Sciglio (Pellegrini, 85.)e) – McKennie (Zakaria, 81e), Locatelli (Artù, 71.)e), Rabiot, Cuadrado-Vlahović, Morata. Entraneur: Massimiliano Allegri.
Par Adrien Candau